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Le Jardin de la Grenouillère

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    « C’est en visitant ,en compagnie de son grand-père, le jardin d’Albert Kahn à Paris,que Françoise Lacaze découvre ce qui va devenir la passion de sa vie:le jardinage.
    Son mari et elle achètent donc en 1988 un terrain de 2500m2 ,un fond de vallée marécageux, argileux où l’Yvette prend sa source  et presque nu:que peut-il y pousser en effet lorsqu’autant d’éléments défavorables s’accumulent?La tâche de faire de ce lieu le jardin de leurs rêves va être lourde!

     

     

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    La première chose est de drainer le terrain d’ou la création de bassins ,de ruisseaux et de cascades.Le sol est asséché et l’eau,véritable fléau,devient un atout esthétique et permet même, puisque elle coule toute l’année à une température constante de 14°,la présence d’une faune très utile pour le jardin:hérissons,tritons,couleuvres à collier et bien sûr grenouilles qui combattent ennemis et prédateurs.

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    Le deuxième problème à maitriser est le climat, »tropical » l’été et « polaire » l’hiver puisqu’il gèle jusqu’à -25° et t tardivement,ce qui explique les échecs nombreux les premières années;Françoise Lacaze ne se décourage pas et aidée de son amie et voisine ,la paysagiste Sonja Gauron,elle va choisir avec soin les plantes adaptées à ces conditions difficiles créant ainsi ce qu’elle appelle son » jardin d’eau »:gunéras,primulas,hostas, chênes des marais,saules etc.

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    Il a fallu toute la passion de sa propriétaire partagée par sa fille,au point quelles ont toutes les deux délaissé leur formation initiale pour en faire leur métier,et de ce lieu peu propice à l’origine un jardin où tout est harmonieux et où rien d’incongru ne vient heurter le regard. le visiteur se promène le long de chemins sinueux qui le mènent petit à petit par des pont ou des gués à des chambres aux atmosphères variées:coins intimes japonisants,petit potager ornemental d’inspiration médiévale,massifs de plantes aquafiles ombragés d’arbres remarquables.
    Françoise Lacaze a atteint le but qu’elle s’était fixé:créer le jardin dont  elle et son mari,trop tôt disparu,avaient rêvé. » la-Grenouillère-16-jpg

     

     

    Françoise Cavil

    1er juin 2014

     

     

     

     

     

     

    Jardin de la Grenouillère

    Propriétaire(s) : Françoise Lacaze (Jardin Privé)

    24, Route de L’yvette

    78690     LES ESSARTS LE ROI

    Département : 78 – Yvelines

    Téléphone : 01.34.61.48.01

    Fax : 01.34.61.48.01

    Site web : http://www.jardin-lagrenouillere.fr/

    Mail : lacaze.francoise3@wanadoo.fr

     

     

     

     

    « C’est en visitant ,en compagnie de son grand-père, le jardin d’Albert Kahn à Paris,que Françoise Lacaze découvre ce qui va devenir la passion de sa vie:le jardinage.
    Son mari et elle achètent donc en 1988 un terrain de 2500m2 ,un fond de vallée marécageux, argileux où l’Yvette prend sa source  et presque nu:que peut-il y pousser en effet lorsqu’autant d’éléments défavorables s’accumulent?La tâche de faire de ce lieu le jardin de leurs rêves va être lourde!
    La première chose est de drainer le terrain d’ou la création de bassins ,de ruisseaux et de cascades.Le sol est asséché et l’eau,véritable fléau,devient un atout esthétique et permet même, puisque elle coule toute l’année à une température constante de 14°,la présence d’une faune très utile pour le jardin:hérissons,tritons,couleuvres à collier et bien sûr grenouilles qui combattent ennemis et prédateurs.
    Le deuxième problème à maitriser est le climat, »tropical » l’été et « polaire » l’hiver puisqu’il gèle jusqu’à -25° et t tardivement,ce qui explique les échecs nombreux les premières années;Françoise Lacaze ne se décourage pas et aidée de son amie et voisine ,la paysagiste Sonja Gauron,elle va choisir avec soin les plantes adaptées à ces conditions difficiles créant ainsi ce qu’elle appelle son » jardin d’eau »:gunéras,primulas,hostas, chênes des marais,saules etc.
    Il a fallu toute la passion de sa propriétaire partagée par sa fille,au point quelles ont toutes les deux délaissé leur formation initiale pour en faire leur métier,et de ce lieu peu propice à l’origine un jardin où tout est harmonieux et où rien d’incongru ne vient heurter le regard. le visiteur se promène le long de chemins sinueux qui le mènent petit à petit par des pont ou des gués à des chambres aux atmosphères variées:coins intimes japonisants,petit potager ornemental d’inspiration médiévale,massifs de plantes aquafiles ombragés d’arbres remarquables.
    Françoise Lacaze a atteint le but qu’elle s’était fixé:créer le jardin dont  elle et son mari,trop tôt disparu,avaient rêvé. »