Le mardi 31 Mai, toujours sous le soleil, nous avons rendez- vous avec Marion et Peter Stanley du Carminowe Valley Garden.
C’est un jardin de 12000 m2. La propriétaire nous reçoit, tout d’abord, dans le petit jardin devant la maison. Il y a des rosiers sur la façade dont « souvenir du Dr Jamain » et une glycine. Devant de la lavande et des plantes méditerranéennes. Plus loin des carrés de buis avec au centre un rosier sur tige « Jubilee célébration »
On descend dans la deuxième partie, qu’ils ont acquise par la suite, par un escalier entouré de rosiers « Sally Holmes ». Nous sommes trop tôt dans la saison pour voir la floraison des 200 rosiers de chez David Austin, nous dit Marion
En contre-bas, nous découvrons le plan d’eau. Les rhododendrons sont en pleine floraison ainsi que les arums et les lys. Nous entrons dans le bois par un joli pont recouvert de lichen. On y trouve des acers, fougères, noisetiers, chênes, salix, frênes, etc… La terre y est très lourde avec des grosses pierres. Ils ont dû utiliser une pelleteuse pour faire les plates-bandes et enrichir le sol avec la terre de champignonnière. Nous sortons du bois par un autre petit pont et nous arrivons sur une pelouse : un rosier rose foncé recouvre une pergola, un néflier est en fleurs, des fougères de Nouvelle Zélande sont entourées d’hostas de collection.
Dans le deuxième jardin, Peter ne voulait pas enlever les arbres existants et il les a inclus dans les mix- borders. Il y a des rosiers rugosa, des azalées mollis, des baies en espalier et en dessous des fraisiers. Plus loin, un coin de pivoines entouré d’une petite haie de berberis pourpre.
Et on continue vers le potager de Peter. Il regrette de ne pas avoir de beaux légumes cette année car l’hiver et le printemps ont été très froids.
Nous venons de visiter un jardin calme, sauvage dans la partie basse avec la rivière et plus sec dans la partie haute.
Et pour finir, le traditionnel tea, coffee and handmade cake. Bien installés devant un gîte qu’ils louent,
nous avons du mal à quitter ce jardin tellement nous y sommes bien.