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Balades & jardins

Annaïg Le Meliner

12Oct

Atelier Fer à béton

12 octobre 2016 Annaïg Le Meliner Atelier

Archive

Gérard nous apprend à faire un petit tuteur où accrocher une étiquette en ardoise

Puis nous suivons ses conseils pour fabriquer un ensemble pour soutenir les fleurs qui ont tendance à tomber comme les pivoines ainsi qu’un tipi pour les grimpantes, comme les « Suzanne aux yeux noirs »

Merci Gérard pour ces précieux conseils !

Date : 23 septembre et 6 octobre 2016

Pierrette G

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02Oct

La culture des légumineuses : fèves et pois par Thérèse

2 octobre 2016 Annaïg Le Meliner Potager

Intervention faite par nos adhérents bénévoles

Les fèves
Originaire des régions de la mer Caspienne, la culture des fèves remonte à l’antiquité.
La fève ou Vicia faba fait partie de la famille des Fabaceae appelées couramment légumineuses.
Les fèves représentent un excellent atout dans une alimentation diversifiée.
Elles peuvent se consommer crues ou cuites, fraîches ou sèches.
Elles sont riches en protéines, en glucides, en minéraux (magnésium, calcium, potassium) mais pauvres en calories. Leur richesse en fibres facilite la digestion. Elles peuvent même entrer dans le régime des diabétiques car elles n’influent pas sur la glycémie.

La culture des fèves est facile
Elles se sèment en sillons dans un sol propre ameubli sur 30cm à la grelinette.
En général, la terre de culture ne nécessite pas d’apport. Si on veut enrichir le sol, il faudra utiliser un compost complètement mûr ou apporter de la potasse une semaine avant le semis. On n’apporte pas d’azote car la fève en se développant absorbe et fixe l’azote de l’air au niveau de ses racines.
Pour le semis, deux possibilités : en poquets de 2 graines tous les 25 cm ou en lignes un grain tous les 10cm. Selon la période de semis, on enfonce les grains plus ou moins profond : à 4cm au printemps, à 7/8cm en automne. On écartera les rangs de 40cm, sachant qu’il est souvent nécessaire de les tuteurer avec quelques branchages.
Par expérience, je préfère les cultiver en rangs isolés, ce qui facilite le tuteurage et la cueillette, et permet de mélanger les cultures afin de contrer les attaques de pucerons.
La levée dépendra de la chaleur du sol : en général une dizaine de jours. Ensuite, il faut maintenir le sol propre jusqu’au buttage quand les plants atteignent 15-20cm. A ce moment-là, on paillera entre les rangs pour conserver l’humidité ou la chaleur du sol et pour limiter les adventices.
Quand les tiges portent plusieurs rangs de fleurs, on peut pincer au-dessus du 6ème rang : Cela permet d’éviter que les tiges ne se couchent sous le poids des gousses et de lutter préventivement contre les pucerons noirs qui s’installent souvent sur le haut des tiges.
Pendant la durée de la culture, on veillera à maintenir le sol humide, la fève n’aimant pas la sécheresse.

Le choix de la date de semis
Selon le climat, il y a deux possibilités : en automne, d’octobre à début décembre, ou au printemps de mi-février à avril. Les fèves peuvent résister aux petites gelées non continues jusqu’à moins 5°C mais elles n’aiment pas les grandes chaleurs et la sécheresse. Une culture tardive est donc à exclure.
Un semis en automne quand la terre est encore chaude peut être envisagé dans notre région, éventuellement en plaçant un tunnel en janvier si la température descend.
Sur les cultures d’automne, l’attaque de pucerons, qui se fait sur le haut des tiges, sera moins gênante dans la mesure où les gousses seront déjà formées et pleines.
La récolte intervient dans les 3 mois après le semis pour les fèves semées au printemps, à partir d’avril pour celles semées en automne.

Parasites et maladies possibles
* Les pucerons noirs : Comme ils se multiplient rapidement, ils peuvent compromettre la formation et le développement des gousses si l’invasion est trop forte. En prévention, on diversifiera les cultures voisines pour permettre la présence de coccinelles et autres insectes auxiliaires. La plantation de capucines à côté des fèves offrira aux pucerons un autre terrain de développement et limitera l’invasion sur les fèves. On utilisera aussi des pulvérisations de plantes répulsives : ail, menthe poivrée, rhubarbe, tanaisie, tomate. ( cf les infusions, décoctions et purins). On peut aussi retirer à la main les premiers pucerons.
* Le mildiou et l’oïdium : en action préventive, on utilise du purin d’ortie ou de tanaisie. Sinon on traitera le mildiou avec de la bouillie bordelaise.

Les plantes compagnes :
L’artichaut, l’aneth, la laitue sont de bonnes compagnes de la fève.
Par contre, la fève ne supporte pas le voisinage des Alliacées (ail, échalote, oignon) ainsi que celui de la betterave.

Une idée d’associations :
On sème les fèves en sillons espacés d’un mètre. D’un côté, on repique des choux à 25cm des fèves. Entre les choux, on repique des laitues qui ont une durée de culture courte et des fleurs. De l’autre côté, on sème des haricots (selon la date du semis) et des légumes racines. Les fèves feront office de brise-vent et apporteront de l’azote pour les légumes gourmands.

La rotation des cultures :
Il faut attendre 4 ans avant de cultiver des fèves sur le même sillon.

L’apport au sol :
Les fèves fixent l’azote de l’air. Elles enrichissent le sol en libérant cet azote par les nodosités se trouvant sur les racines où il s’est fixé. Plutôt que d’arracher les tiges, il vaut mieux les couper et les laisser se décomposer dans le sol. Le feuillage restant peut être broyé à la tondeuse et déposé comme paillage sur le sol en vue de sa décomposition. On installera ensuite des cultures gourmandes comme les laitues, les poireaux ou les choux après avoir passé la grelinette pour décompacter le sol.

Les variétés de fèves :
* ‘Aguadulce’: la plus connue, longues cosses, très hâtive, pour une consommation des graines jeunes;
* ‘3 fois blanche’: rustique;
* ‘Red Epicure’: résistante au froid et d’une jolie couleur;
* ‘Primabel’: un très bon rendement;
* ‘De Séville’: précoce, longues cosses;
* ‘Hystal’: très précoce;
* ‘Aquitaine’: la plus précoce;
* ‘The Sutton: précoce, forme naine;
* ‘Express Eleonora’: croissance forte et rapide, longues cosses de fèves blanches;
* ‘Hangdown Grünkerning’: précoce, longues cosses de fèves vertes;
* ‘Ratio’:haut rendement, plusieurs tiges bien rigides;
* ‘Grenn Windsor’: ancienne variété, cosses courtes, adaptée à la congélation;
* ‘Karmazyn’: grains roses très gustatifs;
* ‘Masterpiece Green Longpod’: grains verts de qualité supérieure, récolte remarquable;
* ‘Longue de Belgique’: précoce résistante au froid, grains verts.

Les pois
Le pois, Pisum sativum, fait également partie de la famille des Fabaceae.
C’est un légume riche en protéines, en fibres, en potassium et en vitamines qui apporte 81 calories pour 100g.

Les variétés de pois :
On peut regrouper les pois en 2 grands groupes :
* Les pois à écosser.
* Les pois gourmands ou mangetout ou beurre.
Dans chaque groupe, on trouvera des pois à grains ronds ou lisses et des pois à grains ridés et dans chacun de ces sous-groupes, des pois nains et des pois à rames.

Les pois à écosser.
* Les pois à gains lisses sont les plus rustiques et les plus précoces. Ils peuvent être semés en automne, d’octobre à début décembre quand la terre est encore chaude, ou au début du printemps, à partir de mi-février jusque fin avril, selon les régions. Dans des gousses jeunes, ces pois sont fins et tendres. Ces pois résistent à des gelées non continues de moins 5 à moins 10°C.
* Les pois à grains ridés se sèment au printemps à partir de mi-mars jusqu’à fin mai. Les grains récoltés sont plus gros, plus sucrés et tendres plus longtemps. Les plants résistent mieux à la chaleur. Ils aiment l’humidité. Ils sont plus productifs.

Les pois mangetout
A grains lisses ou à grains ridés, le semis est plus tardif, en mars, avril, mai, juin selon les variétés.
On consomme les jeunes cosses. La récolte doit être régulière tous les 2 à 3 jours.

Les conditions de culture.
Les pois se cultivent au soleil non brûlant ou à mi-ombre. Ils n’aiment pas le calcaire, les sols lourds et la chaleur. La température idéale se situe entre 18 et 23°C le jour et 7 à 10°C la nuit. L’arrosage sera limité en début de culture pour favoriser la production de fleurs (sans sécheresse cependant) et régulier sans excès par la suite.
Si le sol est trop lourd, on sèmera dans des sillons remplis de compost bien mûr.
On sème les pois en lignes tous les 2 à 3cm ou en poquets de 5 à 6 graines tous les 50cm.
En automne, le sillon fera 6/8 cm de profondeur et au printemps 3/4cm. Après avoir recouvert les graines, il vaut mieux poser un filet pour protéger le semis des oiseaux. Une lutte préventive contre les mulots est souvent nécessaire : soit planter quelques ardoises en travers des sillons, soit planter des tiges de laurier sauce le long des sillons pour un effet répulsif.
Les pois seront buttés une première fois 15 jours après la levée et une deuxième fois 15 jours plus tard. Ensuite, on paillera entre les rangs.
Si l’on sème des pois à rames, on installera des filets avant le semis et les rangs seront espacés de 1m.
Si l’on sème des pois nains, les rangs seront espacés de 50cm et on installera des tuteurs avec des branchages (taille d’arbustes) quand les pois auront été buttés. Les pois nains se couchent souvent quand ils sont couverts de gousses.
Pour hâter le semis de février, on peut installer un tunnel plastique quelques semaines auparavant. Cela permet d’assécher le sol, de le réchauffer et de protéger ensuite le semis des écarts de température et des oiseaux.
La récolte, pour les semis de printemps, a lieu 3/4 mois après le semis, et, pour les semis d’automne, au printemps.

Les plantes compagnes
Les pois aiment le voisinage des carottes, du céleri, des choux, de la laitue, des navets, des pommes de terre, des radis. Cela permet d’envisager des associations diverses au printemps avec des semis ou des plantations au même moment.

Les apports au sol
Ils sont les mêmes que pour les fèves. On gèrera les tiges de la même façon et on profitera de l’apport d’azote pour les cultures suivantes.

Les maladies et parasites possibles
* Le mildiou et l’oïdium : à prévenir ou traiter comme pour les fèves.
* Les sitones : Ce sont des charançons qui causent des dégâts sur les feuilles en début de culture. On les détruit en poudrant le feuillage avec de la cendre de bois.
* Les thrips : Ce sont des insectes de 1 à 2mm, difficiles à repérer. Ils occasionnent des taches ou des marbrures sur le feuillage. On évite la prolifération en arrosant les feuillages. On peut traiter avec une décoction d’ail additionnée de savon noir.
* Les tordeuses de pois : Ce sont des petites chenilles qui attaquent le feuillage. Le mieux est de couper les feuilles atteintes dès qu’on les repère et d’attirer les auxiliaires.

La rotation des cultures
Il faut respecter une rotation de 3/4 ans.

Les variétés
1 Les pois à écosser
-nains à grains lisses ou ronds :
* ‘Caractacus’ : le plus hâtif, à semer en novembre, très productif
* ‘Charmette’ : 40 à 50cm, très hâtifs, très fins
* ‘Feltham First’ : 45cm, idéal pour les semis d’automne, haut rendement
* ‘Petit provençal : rustique et hâtif, gousses de7 à 9 grains
* ‘Douce Provence’ : très précoce
* ‘Proval’ : 40cm, précoce, amélioration de ‘Douce Provence’ et de ‘Petit Provençal’

-à rames à grains lisses ou ronds :
* ‘Meiköningin’ :1,40 à 1,50m
* ‘Roi des conserves’ : tout est dit !

-nains à grains ridés :
* ‘Karina’ : très productif, précoce
* ‘Merveille de Kellvédon’ : excellent, très précoce, récolte abondante
* ‘Progres 9’ : précoce et productif

–à rames à grains ridés :
* ‘Ambassador’ : 75cm, très productif
* ‘Hurst green Shaft’ : très sucré, très productif, haut rendement
* ‘Onward’ : 60cm, semi-tardif
* ‘Rondo’ 90cm, vigoureux
* ‘Téléphone’ : hâtif, 2m, très productif
* ‘Senator’ :90cm à 1,10m, semi-tardif, sucré et fondant
* ‘Télévision’ : 1,50m, moins productif que Téléphone

2 les pois gourmands ou mangetout
-nains
* ‘Ambrosia’ : 70cm, rustique et productif
* ‘De Grace’ : 70 à 80cm, hâtif et productif, grains ronds
* ‘Heraut’ : 70 à 80cm, hâtif et très productif
* ‘Norli’ : 50cm, très productif, très bonne tenue
* ‘Oregon Sugar Pod’ : 60cm, excellent, congélation

– à rames
* ‘Weggiser’ : 1,50m, croissance rapide
* ‘Sugar Snap Delikett’ : 90cm, peut se semer dès janvier
* Vroege Hendriks : 1,20m, variété ancienne, pois tendre, supporte les gelées légères.

Date : 1er octobre 2016
Photos / texte : Thérèse

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23Sep

Les Jardins et le Potager du Château de Montriou à Feneu (49)

23 septembre 2016 Annaïg Le Meliner Jardins visités Maine-et-Loire

Après un copieux petit déjeuner, nous quittons notre lieu de résidence temporaire, le château de Briançon à Baune et nous dirigeons vers Feneu dans la vallée de la Loire pour visiter le parc, les jardins et le potager du Château de Montriou.
Un véritable château dans la famille de Régis et Nicole de Loture depuis plus de 318 ans.
Nous arrivons sur le domaine par une magnifique allée bordée de Platanes et soudain nous entendons des Oh ! des Ah ! des Oh là là ! provenant de l’arrière de la voiture. Je me retourne pour vérifier que Meg Ryan (actrice à vocalises dans Quand Harry rencontre Sally) ne se trouve pas entre France et Annaïg, mais non c’est juste France qui s’extasie devant les tapis de cyclamens blancs. C’est incroyable l’effet produit par ce petit bulbe.
Il faut bien reconnaître que ce spectacle est un enchantement et nous ne sommes pas au bout de nos surprises, car au cours de notre visite nous pourrons admirer dans ce parc à l’anglaise d’autres tapis de cyclamens allant du blanc au rose pâle en passant par des tonalités de parme.

Nous sommes chaleureusement accueillis par Nicole et Régis de Loture. Le propriétaire évoque l’histoire de ce domaine et nous propose de commencer la visite par la chapelle du XVème siècle dite des Trois Maries. Classée monument historique, construite par Charles de Beauvau en 1404 et terminée par sa fille Charlotte, en l’honneur du roi René d’Anjou. Ce dernier, décédé en 1480, n’a pas eu le loisir de connaître cet édifice qui fût achevé en 1484.
Cette chapelle abrite un ensemble magnifique de quatre statues de l’époque en pierre polychrome véritable trésor de l’Anjou, représentant les Saintes Marie de la Mer, thème cher au Roi René, qui entre autres titres était comte de Provence et de Forcalquier (1434-1480). Régis de Loture nous conte que ces statues avaient été recouvertes de plâtre sans doute pour éviter la spoliation en 1939-1945. Au XIXème siècle, les vitraux initiaux de la chapelle ont été déposés et installés sur les fenêtres de l’escalier du château.

Non sans humour, il désigne les différentes pierres tombales où reposent ses ancêtres et nous montre les deux derniers emplacements vierges de toute inscription précisant malicieusement que ce sera sa dernière demeure et celle de son épouse. Au sortir de la chapelle, certains d’entre nous se sont interrogés sur cette pratique qu’ils pensaient récemment interdite. Après renseignements pris auprès du service dédié à la commune où je sévis, il s’avère qu’il est toujours possible d’être inhumé sur sa propriété, après avoir satisfait à trois conditions cumulatives obligatoires : l’accès à la sépulture doit être public (droit au recueillement), une étude hydrogéologique et enfin recueillir un avis favorable du Préfet.

Le château originel date d’avant le XVème siècle. En 1860, Ferdinand Cassin de La loge, l’arrière-grand-père des propriétaires actuels, agrandit le logis sans dénaturer la construction existante, la surface est pratiquement doublée. Il agrandit le parc par une futaie et des pièces d’eau qui lui donnèrent un caractère accueillant. Il crée des jardins, le jardin italien agrémenté depuis de son originale volière dite volière de Monseigneur réalisée sur le même plan que la basilique Saint Pierre de Rome (cf. explication ci-dessous) et reboise (hêtres pourpres, séquoias et platanes, parterres de buis et topiaires). Il fit également construire la ferme, les communs et la basse-cour. Il créa enfin le jardin potager clos de murs, riche de fleurs et de légumes qui s’est vu enrichir depuis de cucurbitacées avec le jardin dit « de la Princesse », réalisant ainsi avec un goût parfait un élégant ensemble XIXème au creux d’un vallonnement harmonieux et verdoyant.
Le domaine était en désuétude depuis 1968. Nicole et Régis de Loture de retour d’Afrique où ils vivaient, commencent en 1992 à restaurer cet ensemble et à créer de nouveaux jardins.

En entrant dans le potager, si vous tournez à gauche à hauteur du bassin central, vous découvrez d’autres ambiances. Il y a le jardin de la Princesse, dessiné en 1997 par Régis de Loture lui-même. Le nom de cet espace végétal rend hommage à la princesse d’Arenberg qui fit grimper des courges sur un tunnel dans sa propriété de Gerbéviller (Meurthe-et-Moselle). En apprenant cette anecdote, les Loture décidèrent de reprendre cette astuce à Montriou et ainsi dresser leurs coloquintes sur des tonnelles. Depuis, la princesse d’Arenberg est devenue la marraine du jardin.

Nicole de Loture va s’attacher à semer des graines de cucurbitacées et organise chaque année la fêtes des courges, une exposition d’excentriques cucurbitacées a lieu devant le château ; elle attire de nombreux visiteurs.
En revenant le long du potager et derrière un sequoia gigantea haut de 39 mètres (son écorce est souple comme une éponge), vous arrivez dans le jardin à l’italienne, intime et reposant. Au centre de cette verdure de buis et de thuyas taillés, trône une volière majestueuse offerte au couple par l’évêque d’Angers en 1998. La châtelaine en raconte la belle histoire. « Un jour, Monseigneur est venu déjeuner avec le curé. Il nous a alors montré les dessins d’un projet de volière pour son parc. Mon mari a glissé qu’il rêverait de la voir. Monseigneur, jouant sur les mots, lui a répondu, vous allez “l’avoir” parce que vous avez beaucoup de chance ».

Le potager de Montriou fait désormais partie du réseau des potagers de France. Il a gagné le deuxième prix national organisé par la Société Nationale d’Horticulture de France (SNHF) des plus beaux potagers de France en 2005 et c’est amplement mérité, il est superbe et néanmoins original. Ses allées sont bordées de buis, à l’instar du potager de Villandry qui mélangent légumes et fleurs, des dahlias et cosmos parsèment les parterres de choux, certains arbres fruitiers avoisinent les 140 ans. Dans la gestion du potager, Nicole et Régis de Loture sont aidés d’un jardinier.
Alentour le parc, chaque année se dessine à une échelle plus grande et de nouvelles promenades sont créés telle celle de « La Forêt enchantée ». Actuellement, sur le dernier jardin, 100 m² de serres sont en projet.
Nous quittons nos hôtes en les remerciant vivement de leur sympathique accueil.

Date : 17 septembre 2016
Photos / texte : Martine A

Les Jardins et le Potager du Château de MontriouPropriétaires : Nicole et Régis de Loture
Montriou – 49460 Feneu

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23Sep

Le Jardin de la Grille à Durtal (49)

23 septembre 2016 Annaïg Le Meliner Jardins visités Maine-et-Loire

Julien Marlin, très tôt, a eu la passion du jardinage. A 12 ans, il semait ses premières graines dans un champ que son père lui avait laissé (la propriété est située dans l’ancien parc du château de Durtal).
Dans ce jardin argilo-calcaire, l’hiver la température peut descendre jusqu’à -12°C mais au printemps, à l’abri du mur d’enceinte, le microclimat est favorable aux cultures.
Dans un « fouillis » de plantes vivaces (environ 500) – beaucoup de plantes à feuillage gris – arbres et arbustes (une centaine) la biodiversité règne.
Tout le monde a le droit de cité, les arbres poussant spontanément, sont taillés en bonzaï.
Au jardin d’ornement Julien paille deux fois par an, à l’automne avec les feuilles, au printemps avec les tontes de gazon ou de la paille. Au potager, Julien créé des lasagnes (matières organiques empilées) pour enrichir le sol et retenir l’eau.
Près du jardin sec, sur gravier, (vitrine pour les clients car Julien est aussi paysagiste), une serre renferme une superbe colonie de petites boutures de coloris et de formes variées provenant de son jardin. Dans ce jardin écologique étonnant deux heures de travail par semaine suffisent car beaucoup de plantes tapissantes minimisent le travail.

Date : 18 septembre 2016
Photos / texte : France MLe Jardin de la GrillePropriétaire : Julien Marlin
Rue Saint Pierre – 49430 Durtal

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23Sep

Le Jardin de Claude à Beaufort en Vallée (49)

23 septembre 2016 Annaïg Le Meliner Jardins visités Maine-et-Loire

Le dernier jour de notre week-end d’automne en Anjou nous avons eu la chance d’être accueillis d’une façon particulièrement chaleureuse, par les parents de Sophie B. Après un déjeuner convivial nous avons pu visiter le jardin de son papa, un hectare et demi à la fois potager et jardin d’ornement. Le jardin d’un passionné et pour cause…
En effet, de générations en générations, la famille a baigné dans le végétal : son arrière-grand-père récoltait chez les agriculteurs les graines « foraines » de céréales, c’est à dire les graines en surplus, puis son grand-père a continué en élargissant sa récolte aux graines de légumes et son papa y a ajouté les graines de fleurs qu’il semait, récoltait, faisait sécher et distribuait aux grainetiers revendeurs.
Lorsque l’entreprise a été vendue le terrain a été transformé en jardin d’ornement et surtout en un immense potager où la qualité de l’entretien n’a d’égale que la diversité des cultures.
Le jardin d’ornement, près de la maison et d’esprit à la française, se compose d’une grande pelouse rectangulaire entourée d’un mixed-border plantés de topiaires, de vivaces et de rosiers : le jardin compte plus de 600 pieds de rosier ! Plus loin on trouve une longue pergola couverte de rosiers lianes et un verger.
Sur la droite une petite porte mène au potager et aux serres où sont cultivées de nombreuses variétés de tomates, de melons et de raisins dont l’un s’appelle le raisin « fou » car, dit-on, il fait tourner la tête si on le mange trop vert…Ce potager répond à toutes les attentes ; on y trouve même des pois chiches et les quatre congélateurs de la maison (et sans doute les placards remplis de conserves) suffisent à peine à entreposer les récoltes.
Une visite passionnante et une rencontre mémorable avec un délicieux jardinier !

Date : 19 septembre 2016
Photos / texte : Françoise C

Ce jardin privé n’est pas ouvert au public

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23Sep

Le Jardin de la Closeraie à Avrillé (49)

23 septembre 2016 Annaïg Le Meliner Jardins visités Maine-et-Loire

En cette fin d’après-midi d’automne, nous arrivons en plein centre d’Avrillé pour découvrir « La Closeraie », petit jardin clos de murs de briques de la maison d’habitation, puis d’un ancien atelier et de plusieurs annexes. C’est l’ancienne cour de 300 m² qui a été réaménagée en 2012 et transformée en jardin dédié à la rose.

Ne nous y trompons pas, ce n’est pas le 1er jardin de la propriétaire, Laurence Massa, passionnée de roses ; elle a souhaité réunir ici une sélection de plus de 250 rosiers, particulièrement des rosiers anglais importés directement des divers obtenteurs. Ces rosiers sont prioritairement remontants et tous ont obtenu des distinctions, notamment pour leurs parfums.

Les parterres sont constitués par couleur et chaque plante est répertoriée par une petite ardoise à son pied.

Tout autour, les murs reçoivent des plantes grimpantes : bignone, glycine, chèvrefeuille…

Un petit bassin près de l’entrée recueille des plantes d’eau, des bambous, des fougères…

Un grand merci à Mme Massa pour son accueil et ses explications et commentaires très précis.

Sur un si petit espace, c’est un foisonnement qui mériterait d’être revisité lors du plein épanouissement des rosiers.

Date : 16 septembre 2016
Photos / texte : Annaïg LMLe Jardin de la CloseraiePropriétaire : Laurence Massa
102 av. Pierre Mendès France – 49240 Avrillé

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29Août

Le Jardin et la Pépinière de Roseland house en Cornouailles

29 août 2016 Annaïg Le Meliner Pépinières visitées

Nous sommes accueillis par Charlie et Liz Pridham qui nous expliquent l’histoire de leur jardin d’environ 4.000 m² conçu à partir des années 80, sur un terrain en pente, pauvre, au sous-sol rocheux.

Après avoir planté des haies indispensables pour se prémunir du vent de Cornouaille, apporté de la terre et remodelé l’ensemble, ils ont pu créer le jardin proprement dit et assouvir leur passion des plantes grimpantes.

S’il est un peu tôt pour la floraison de certaines clématites (la passion du propriétaire des lieux, détenteur de la Collection nationale de Clematis viticella), nous nous régalons des précieux conseils de bouturage, de plantation et de taille qu’il nous prodigue.

Et la visite des nombreuses serres s’impose. Nous sommes impressionnés par le nombre de variétés de clématites en culture, amusés par les tuteurs et leurs bouchons. Le choix est difficile, cependant beaucoup d’entre nous se laissent tenter…

A la dégustation du thé ou du café, les discussions tournent autour de la meilleure façon de transporter sans dommage ces délicates et encombrantes clématites auxquelles nous ne pouvions résister, nous étions tout de même chez « le » spécialiste !

Date : 1er juin 2016

Photos / texte : Joëlle Q

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07Juil

Les Jardins Rocambole à Corps Nuds (35) en 2016

7 juillet 2016 Annaïg Le Meliner Jardins visités Ille-et-Vilaine

Ancien maraîcher bio, Luc Bienvenu ouvre aux visiteurs son jardin de 6.000 m² où il excelle tant du côté potager que du côté agrément.
Nous entrons d’abord dans le potager qui est aménagé en planches fixes de 7 à 8 m de long sur 1m20 de large, ce qui permet de les travailler à partir des allées et de mieux gérer le travail du jardinier, entrainant un gain de temps appréciable. Il est cultivé de façon biologique et est destiné à la production de légumes et fruits pour les besoins familiaux
Chaque planche est agrémentée de fleurs, les allées sont engazonnées sauf l’allée centrale qui est recouverte de sable.

         
Le plus grand soin est apporté au sol qui bénéficie d’un double paillage d’octobre à janvier constitué des restes de végétaux y compris les racines qui sont laissées en place car elles continuent à travailler le sol), des déchets de fleurs annuelles et vivaces. Le paillage est préféré en vert par Luc Bienvenu où il apporte de l’azote, du sucre et de la cellulose, éléments qui correspondent mieux aux cultures maraîchères annuelles que le carbone apporté par les végétaux compostés.
Ce paillage protège le sol des aléas climatiques de l’hiver : pluie, grêle, neige vent, il évite la pousse des mauvaises herbes et permet aux vers de terre de rester travailler le sol en surface. Il en résulte un gain d’énergie et de temps. Il est enlevé 15 jours avant la mise en place de serres-tunnels et le sol travaillé au croc.
Le jardin est partagé en « bloc printemps » : pomme de terre, haricot, chou et « bloc été » : tomate, melon, courgette avec une rotation qui permet de lutter contre les maladies telluriques, de gérer la fertilisation et le travail du jardinier.
Pour Luc il est important de limiter le travail du jardinier en intervenant à temps pour lutter contre les mauvaises herbes par exemple pour une planche d’oignons comprenant 4 rangs, seuls 2 sarclages et 3 binages suffisent s’ils sont effectués au bon moment.
Pour la mise en place des plants de tomates seuls les ronds destinés à recevoir les plants sont dégagés et travaillés à la bêche utilisée comme une grelinette. Les fraisiers et les artichauts sont laissés 3 ans en place.
En parcourant les allées bien exposées au sud un plant de tomate de la Paz (cyphomandra), un concombre farceur, un plant de chayotte ont retenu notre attention.
Un verger, où le raifort semble protéger les pêchers et brugnoniers de la cloque, nous introduit dans le jardin paysagé où Luc laisse libre cours à son imagination et à son esprit de créativité. Il utilise beaucoup d’objets et de matériaux (bois, verre, métal, brique, schiste, ardoise, pierre) de récupération et leur donne une nouvelle vie. Les réalisations sont insolites et exubérantes : un vrai travail d’artiste ! Il s’inscrit d’ailleurs dans ce monde d’artiste en proposant cet espace pour des expositions aussi avons-nous pu admirer une sculpture contemporaine en bois d’Irène Le Goaster.
Nous terminons cette visite par le jardin aromatique où se côtoient Brède-Mafane (cresson de para), Perilla frutescens (basilic japonais), Salicaire, Arroche rouge ainsi que l’absinthe, la rue et la tanaisie qui sont utilisées comme répulsifs pour les limaces.
Un grand merci à Luc Bienvenu pour cette visite où plantes et art cohabitent de façon merveilleuse et poétique.

Nous sommes revenus pour une nouvelle visite en 2024

Date : 2 juillet 2016
Photos / texte : Colette MLes Jardins Rocambole
Propriétaire : Luc BienvenuLa Lande aux Pitois – Corps-Nuds 35150

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07Juil

Le Jardin des Pépins à Cesson Sévigné (35)

7 juillet 2016 Annaïg Le Meliner Jardins visités Ille-et-Vilaine

Nous commençons notre dernière journée de visites des jardins avant la trêve estivale par le « Jardin des Pépins » au lieu-dit Belle Fontaine à Cesson–Sévigné.
Denis et Christine, les propriétaires des lieux, nous accueillent devant leur belle demeure datant de 1684. Cette maison d’architecture traditionnelle en terre a conservé son aspect d’origine. Le mur du bâtiment attenant, qui sert aujourd’hui de garage, est en terre non enduite ce qui permet donc aux chauve-souris, mésanges et autres oiseaux et insectes d’y trouver refuge.
De part et d’autre de l’entrée de la maison des plantes à floraison et parfum d’hiver ont été privilégiées : camélia, sasanqua, sarcoccoca.
Nous accédons alors au jardin d’agrément dont l’aménagement est cohérent avec la démarche bio de Denis et Christine. Pour cela les plantes sont choisies en fonction de leur adaptation au sol, leur résistance aux maladies et aux ravageurs. Denis considère que le jardin n’est pas un hôpital pour plantes souffreteuses.
Une autre règle importante pour Denis est de ne pas laisser de terre nue dans les parterres et sous les arbres fruitiers dans le but d’éviter les herbes indésirables et de favoriser la pollinisation. L’épimedium, le lamier, le cyclamen coum sont utilisés en plante couvre-sol et le fuchsia, le géranium vivace, la benoîte accompagnent un pommier. Les espaces qui se découvrent en hiver sont paillés, le plus souvent avec des feuilles mortes.
Le long de la maison les sauges Amistad, les sauges X jamensis côtoient entre autres des buphthalmum salicifolium à feuille de saule, un rosier Cocteau, un Calamintha népéta rose, un hortensia « You and me expression », un tabac blanc.
Au pignon de la maison un Cornus Satomi rose bien fleuri borde l’allée qui nous conduit au potager.
Pour Denis et Christine le challenge du potager est d’être autosuffisant en légumes frais et fournir de la salade toute l’année.
Le potager est entouré d’arbustes à fleurs, de rosiers et de vivaces en couvre-sol. Il est travaillé en planches, elles aussi fleuries (petits arbustes et vivaces tout autour et annuelles au centre) dans le but d’attirer les auxiliaires mangeurs de pucerons et pollinisateurs et d’être agréable à l’œil du jardinier. Les allées sont gazonnées.
Ici, comme au jardin d’agrément, le sol doit être toujours couvert.
Devant une planche de poireaux bien enfouis Denis nous explique sa façon de procéder :
Des navets d’hiver « boule d’or » recouverts d’un bon paillis de feuilles mortes, puis des radis ont été récoltés sur cette planche. Les restes de cultures ont été laissés sur place et recouverts de tonte de pelouse en décomposition de mars à juin. Ceci « a travaillé la terre à notre place » nous précise Denis. Une fois le résidu de paillage ôté un simple coup de croc a suffi avant de planter les poireaux.

                                           

 

Au fur et à mesure de notre visite du potager nous trouvons :

  • Les laitues romaines « oreilles du diable » et « Chicon du père Vendi » parsemées de plants de souci à fort pouvoir répulsif contre la piéride du chou notamment,
  • Les fraises paillées avec de la consoude broyée, riche en potasse,
  • Les carottes sous un voile anti-insectes,
  • Des pommes de terre « Sarpo Mira » résistante au mildiou et sucrée en fin de saison,
  • Des choux raves « qui sont meilleurs que les navets »
  • De la salade « cressonette du Maroc »,
  • Des tomates sous serre dont le sol paillé cache le tuyau d’arrosage. Les tomates sont bien arrosées à la plantation puis une fois par mois à raison de 30l à 40l au m² en goutte à goutte. La variété « prévia » (ou « belle Lorraine ») est résistante au mildiou.
  • Des courgettes « Tempra » et « Atia » résistantes aux maladies,
  • Des haricots à rame « mélissa » de chez Vilmorin (dont les haricots du bas de la rame sont mangés en vert et le haut en demi-sec ou sec),
  • Des planches, dont les légumes ont été récoltés, recouvertes de tonte de gazon et des restes de légumes
  • Une ronce Navaho dont la saveur se rapproche de la mure sauvage, de plus il est très florifère. Car les fleurs ont une place importante dans ce potager pour leur rôle pollinisateur et refuge pour insectes et auxiliaires.

Nous avons pu admirer notamment un sureau noir et un « physocarpus diabolo » mettant en valeur des rosiers tels que « Princesse Anne », « Pierre Cardin », « La rose du petit Prince », « el Camino de Compostella » accompagnés de l’achillée millefeuille, du lamier, de la marjolaine dorée, de la grande aunée, de la brunelle, des zinnias qui attirent des auxiliaires toute l’année.
Nous terminons notre visite par le verger où la règle du sol couvert s’applique également : les fruitiers sont paillés s’il n’y a pas d’herbes hautes. Par ailleurs il y a toujours une petite parcelle en herbes hautes afin d’avoir des fleurs en continu.
Une mare agrémente ce verger et héberge des grenouilles agiles, des tritons alpestres, des grenouilles vertes, des crapauds accoucheurs.
Nous remercions Denis et Christine de nous avoir accueillis et d’avoir partagé leur savoir-faire.

Date : 2 juillet 2016
Photos / texte : Colette MLe Jardin des PépinsDenis et Christine Pépin
Lieu-dit Belle Fontaine – 35510 Cesson Sévigné

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22Juin

La Pépinière Huchet à Gennes sur Seiche 35

22 juin 2016 Annaïg Le Meliner Pépinières visitées

Les pépinières Jean Huchet sont composées de 2 lieux de visite : l’arborétum et la pépinière.

L’arborétum, assez jeune (1998), nous permet de découvrir en situation plus de 3.000 variétés de plantes, par exemple :

  • 80 variétés de bambous
  • des azalées
  • des hortensias
  • des érables japonais
  • des glycines en arbres
  • des vivaces
  • la roseraie , etc …

Dans ce parcours, l’eau est présente ce qui permet aux visiteurs d’admirer également les plantes adaptées au milieu.

Le vivant n’est pas seulement représenté par la végétation, les animaux y sont aussi présents : cygnes noirs, canards, volailles exotiques, oies et moutons croisent notre chemin.

Après avoir parcouru l’arborétum, nous sommes curieux de découvrir la pépinière, second lieu de visite.

Celle-ci, sous serre, est très bien organisée : grand choix de plantes, arbustes et arbres, disposés par ordre alphabétique, ce qui facilite grandement la recherche… et les achats !

Date : 21/06/16
Texte : France M

La Pépinière HuchetLes Creulais – 35370 GENNES SUR SEICHE

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