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Balades & jardins

2014

Home / 2014
03Juin

Le Jardin privé d’André Eve à Pithiviers (45)

3 juin 2014 Ronan Quidu Jardins visités Loiret

Avez-vous un rosier Ghislaine de Féligonde dans votre jardin ?

Si oui, vous le devez probablement à cet homme, André Ève, qui un beau jour des années 80 a commencé à multiplier ces roses un peu perdues, un peu oubliées, et qui ont séduit massivement une clientèle lassée des rosiers modernes, raides, malades, sans parfum.

Là est l’histoire d’André.

Et son jardin ? Il jouxte une maison de ville à Pithiviers, dans le Loiret.

Du trottoir rien n’apparaît, on franchit une étroite porte peinte, et André au bout du passage nous accueille avec son légendaire sourire et sa gentillesse non moins légendaire.

Le jardin s’allonge sous le soleil de printemps, les photos seront difficiles à prendre, trop de lumières, mais les roses seront là au rendez-vous.

Pas seulement les roses, mais une profusion de plantes, de vivaces, dans des plate bandes dont l’horizon est à chercher dans la profondeur de la végétation. Ainsi le jardin paraît plus grand.

Qu’y a-t-il de si charmant dans ce jardin que les jardinières visitent avec tant de gourmandise, au plaisir d’un homme qui tant séduit par les femmes appelle ses semis spontanés de roses, d’heuchères, de prénoms féminins ?

Le rosier Nathalie au coin de la première longue plate-bande, le rosier Shérazade qui n’est pas commercialisé mais devant lequel tout le monde s’arrête.

Les heuchères, les delphiniums, les hostas parsèment le pied des rosiers dans une profusion qui jamais ne paraît brouillonne.

Le tout est contenu par des allées aux formes courbes, rondes aux bordures impeccables, fierté du maître des lieux, qui n’hésite pas à se mettre à genoux pour une petite démonstration impromptue.

Cet homme qui a contribué au renouveau des roses anciennes, ceux qui ont eu les premières pages de listing en main, avant que ce ne soit un catalogue, en ont encore un souvenir ému, a aussi contribué au développement des vivaces sous toutes leurs formes. La rose s’ennuie sans cet accompagnement, a-t-il coutume de répéter.

Lorsqu’on lève les yeux, des rosiers grimpants, des lianes soulignent les perspectives.

Certains sont des obtentions de André, les célèbres Suzon, Suzette et Suzie. La cabane au toit végétalisé, supporte un sarmenteux exubérant qui n’a pas de nom, là aussi un semis spontané.

La promenade se poursuit de places ensoleillées en chemin d’ombre légère, si bienvenue, où vont se retrouver reines les fougères et autres jolies plantes d’ombre. Le jardin offre ici une diversité de biotopes étonnante pour cette surface. Et cette diversité appuie les choix d’André en termes de culture, il le dit, l’affirme, les plantes n’ont pas besoin de traitements, ça les affaiblit, si elles ne résistent pas, couic … Il transmet le message en douceur et surtout par l’exemple ; de ce grand connaisseur de plantes, c’est un message fort.

Quand on a le temps, André n’hésite jamais à offrir le verre du départ près du bassin, où se prélassent quelques ‘grosses’ nonchalantes et moqueuses de toute cette agitation. S’asseoir et contempler, André on s’attarderait volontiers dans cette parenthèse douce, humaine et si chargée des plaisirs verts du jardin. Mais la roseraie de Morailles mise en musique par André nous attend, où l’on retrouve les choix de rosiers et de vivaces de cet homme passionné qui jamais ne s’arrête.

André Eve nous a quittés en juillet 2015.
L’Association des Amis d’André Eve a repris la gestion du jardin et organise des visites.

Date : 31 mai 2014
Photos / texte : Mireille KLe Jardin privé d’André Eve28 Faubourg d’Orléans – 45300 Pithiviers

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03Juin

Le Parc du Château de la Javelière à Montbarrois (45)

3 juin 2014 Ronan Quidu Jardins visités Loiret

En cette fin de journée, plus d’une cinquantaine de « jardiniers-baladeurs » ont rendez-vous au Parc du Manoir de la Javelière. Autour d’un élégant bâtiment à parements de briques roses, quatre ha de jardins se répartissent entre parc paysager très soigné à proximité du manoir et une ambiance plus champêtre autour de l’étang, de l’autre côté de la route. Dès l’entrée dans le parc, l’harmonie des lieux nous enchante. A partir des bâtiments parfaitement intégrés, de nombreuses perspectives nous laissent deviner la richesse du décor. La roseraie moderne, ornée d’un bassin, capte immédiatement notre attention : c’est une explosion de couleurs tendres et de parfums.
A proximité, le potager dans lequel les petits fruits et les légumes voisinent avec des fleurs de jardins d’autrefois, comme les œillets de poète. Plus loin, le verger.

Pour accéder à la prairie, nous franchissons une haie d’ifs dont la taille « moutonnante » adoucit les contours.
L’accès à l’étang se fait par une allée herbue. Un petit chemin bordé de végétation spontanée mêlée à différentes variétés de rosiers anciens, de cystes et d’érables, entre autres, permet de contourner l’étang et nous conduit au Rosarium regroupant 300 taxons de rosiers sauvages, buissons, grimpants ou lianes. Le moment correspondant à la pleine floraison des rosiers, c’est un festival de couleurs et d’odeurs.
En remontant, nous tombons sous le charme strict mais apaisant du jardin italien, entouré de haies d’ifs et planté de cyprès.
Plus haut, au milieu de dalles et de blocs de schiste, s’écoule un ruisseau bordé de primevères fleuries, d’érables et de cryptomères du Japon.
En redescendant, nous traversons la collection d’ilex, la chambre de verdure, l’allée des mahonias, avant de rejoindre le centre du parc où deux magnifiques chênes, superbement éclairés à cette heure, attirent le regard vers le manoir.
Ce jardin est une merveille dont la description ne peut rendre compte de tout le ressenti qu’il génère. Le choix des plantes, le nombre de variétés (1.000 variétés de plantes ligneuses, 200 de conifères, 650 de rosiers), le soin apporté aux perspectives, l’équilibre entre naturel et domestication, sont autant d’invitation à la découverte, à la promenade mais aussi au repos et à la méditation.
Une réussite, justement récompensée par de nombreux prix prestigieux.

Date : 30 mai 2014
Photos / texte : Joëlle QLe Parc du Château de la JavelièrePropriétaire : Patrick Masure
10 route de la Javelière – 45340 Montbarrois

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02Juin

Les Jardins de Sonja au Perray en Yvelines (78)

2 juin 2014 Ronan Quidu Jardins visités Yvelines

Dimanche 1er juin, une belle journée s’annonce avec un ciel uniformément bleu lorsque nous partons rejoindre le « Jardin de Sonja » au Perray en Yvelines. Hélas ! une chape de grisaille aussi inattendue que soudaine, venue d’on ne sait où, nous surprend à l’arrivée.

Heureusement, l’accueil chaleureux et le rire de Sonja nous font très vite oublier cette petite déception et si le temps est gris, la bonne humeur est communicative.

Après les présentations et l’historique du jardin, nous commençons la visite en nous suivant à la queue-leu-leu, telles des chenilles processionnaires, dans le petit sentier qui mène vers la partie Sud du jardin. Il y a bouchon ! et à l’arrière, nous prenons rapidement les déviations. Qu’importe, puisque Sonja, qui se tiendra à notre disposition tout au long de notre visite, nous donnera avec détails et gaieté, tous les renseignements que nous désirons. Sonja sait très bien parler de son jardin et c’est un réel plaisir de l’écouter nous faire le récit de ses déboires de débutante ponctués d’éclats de rire et de ses coups de cœur au fil des ans.

Ce jardin de 3.000 m² que notre hôtesse qualifie d’« anglo-chinois » dans sa partie Nord, et que personnellement je qualifierais de « romantico-anglo-chinois » nous éblouit dès l’entrée par sa luxuriance, son foisonnement de vivaces, d’arbres et arbustes sous lesquels nous nous baissons pour avancer mais aussi par l’omniprésence de l’eau, trouvant partout sa place au détours de scènes différentes et harmonieuses.

En débouchant dans la partie Sud, nous avons une vue plus dégagée sur les grands arbres du pourtour, presque trentenaires, qui, dans cette terre fertile ont poussé comme des champignons, enserrent le jardin, bien protégé dans son cocon. Les multiples érables, viburnums, rhododendrons, plantes grimpantes, dispensent ombre et protection aux multiples plantes vivaces qui s’épanouissent à leur pied.

Dans cet espace Sud du jardin, d’inspiration anglaise, un dédale de chemins étroits, avec pas japonais, ou rondins, gravillons ou gazon, nous mène de découvertes en découvertes : comme le marronnier Aesculus Mutabilis ‘induta’ – ou la fougère Dryopteris filix-mas ‘Linearis Polydactyla’). Nous nous arrêtons devant la belle touffe d’Amsonia bleu-gris ou l’Astrantia Major Shaggy, et devant beaucoup d’autres.

Des scénettes composées de mobilier et objets chinés, de grands pots en grès plantés d’hostas ou d’érables japonais, se découvrent çà et là au détour des massifs qui cachent des petits bassins avec jet d’eau ou larmiers et un adorable petit étang romantique aux rives exubérantes.

C’est la présence discrète de l’eau partout qui donne à ce jardin cette luxuriance et un charme particulier.

Des zones de repos sont aménagées. Une pagode chinoise, des tonnelles rustiques en bois de châtaignier ainsi que des bancs et chaises, judicieusement posés aux endroits stratégiques nous invitent à prendre le temps d’écouter respirer le jardin ou « croquer » sur un carnet, l’étang d’où s’envole une majestueuse aigrette en métal.

Sonja, frustrée de ne pouvoir profiter de la floraison en hauteur de ses rosiers grimpants et clématites et de la vue d’ensemble de son domaine a eu l’idée de faire édifier un surprenant et imposant observatoire en rondins de bois, qui nous a tous étonnés par sa conception entièrement « maison » et le côté inhabituel de ce genre d’ouvrage dans un jardin. Situé près de l’habitation, il domine tout le jardin. Heureux propriétaires de grand terrain, l’idée est à retenir ! Certains intrépides n’ont pas hésité à y grimper pour y faire des photos inédites.

Pour avoir habité longtemps à proximité et connu les mêmes problèmes que Sonja à ses débuts, je peux témoigner, qu’il n’y avait autour de sa maison, qu’une terre ordinaire de Beauce, une bonne terre à blé battue par tous les vents, composée de mauvaise glaise bien collante avec à peine 15cm de bonne terre arable en surface et d’où il est particulièrement difficile d’éradiquer les racines des mauvaises herbes.

Je n’ai pas reconnu l’endroit et encore moins le jardin. J’ai donc pu me rendre compte du travail énorme qu’une telle création représentait, de la passion, de l’acharnement qu’il a fallu pendant des années pour amender et alléger un tel terrain à l’aide d’apports massifs de compost et terreau maison ainsi que d’importants ajouts de tourbe et de sable grossier et, bien sûr, la recherche patiente de jolies plantes susceptibles de s’adapter.

On pourrait penser qu’à présent ce jardin a trouvé sa vitesse de croisière et qu’il suffit de se laisser aller à le contempler et à lui prodiguer des petits soins quotidiens, mais un jardin n’est jamais complètement abouti, la maîtresse des lieux le sait mieux que personne pour l’avoir vérifié depuis 25 ans. Aussi le plaisir est toujours là, de chercher encore et encore à intégrer dans les places redevenues libres, de nouvelles trouvailles qui le feront évoluer.

Alors à quand la prochaine visite ?

Date : 1er juin 2014
Photos / texte : Michelle SGLes Jardins de SonjaPropriétaire :  Sonja Gauron
5 rue de la Martinerie – 78610 Le Perray en Yvelines

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01Juin

Cake aux orties

1 juin 2014 Ronan Quidu Recette

Suite à la dégustation et à la discussion aux sujets des orties et autres plantes sauvages comestibles du samedi 6 juin, je partage la recette du cake aux orties.

Ingrédients :

  • 100g de feuilles orties, c’est à dire 1 saladier, prendre les feuilles du haut de la plante qui sont plus tendres. A cueillir surtout au printemps.
  • 3 œufs
  • 120g de farine
  • 30g de maïzena
  • 1 sachet de levure
  • 120ml de lait tiédi
  • 1 poivron rouge ou jaune
  • du comté ou du chèvre ou du brebis
  • sel -poivre- une pincée de piment en poudre ou deux pincées de muscade

Préparation :

Mélangez les œufs, la farine, la maïzena, la levure puis le lait

Ajoutez le poivron et le fromage coupés en dés, puis les feuilles d’orties coupées également pas trop finement, assaisonnez.

Mettre dans un plat à cake beurré ou mettre un papier sulfurisé

Enfournez 45mn dans un four à 180°

Marie Claire

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29Mai

La culture des carottes par Jean Yves

29 mai 2014 Ronan Quidu Potager

Intervention faite par nos adhérents bénévoles

Historique :
DAUCUS CAROTA en latin plante bisannuelle de la famille des apiacées anciennement ombellifères. La carotte est un tubercule d’hypocotyle.
L’ancêtre sauvage de la carotte provient d’Iran. La carotte a été domestiquée au Xème siècle.

Type de carotte :
* Amsterdam petite carotte
* Parisienne ou grelot
* Nantaise ou rondelle
* Flakkee ou grosse carotte longue cylindrique
* Chantenay ou grosse carotte courte conique
* Fourragères, blanche à collet vert, jaune du Doubs

Variétés : 500 au catalogue européen
Couleur blanche, jaune, orange, violette, rouge, striée

Rotation : 5 ou 6 ans entre 2 apiacées

Précédent : favorable pomme de terre, poireaux, engrais vert, type phacélie. Eviter crucifères, apiacées, engrais vert, type moutarde. Pas de fumier frais l’année de la culture

Besoins : fumure, 100 n 100p 200k potasse sous forme sulfate de préférence, eau, 250mm, garder frais pour la germination et ensuite arroser à raison de 25mm par passage

Préparation du sol : labour profond au moins 25cm ou faire des buttes

Semis : nombre de graines au gramme 500 à 1700. 40cm entre lignes en éclaté sur 7 à 8 cm et fond plat pour avoir une levée régulière bien imprimer les graines dans le sol frais à 1cm maximum. Densité 400graines par ml pour Amsterdam, 60graines par ml pour Nantaise, 30graines par ml pour Flakkee et Chantenay. Astuces : mélanger des radis pour repérer le rang, du sable pour mieux disperser, existe en bande pré semée, vitesse de germination 7 à 30 jours selon la température du sol et la vigueur des semences

Lutte contre les parasites :
* mouche de la carotte Psila rosae : coriandre, rang alterné avec des poireaux, filet anti insectes, voile P17, plaques jaune engluées, éloigner du carré de persil ou de céleris
* pucerons verts : surveiller au stade dycotylédonaire et au départ des feuilles persillées, appliquer du purin d’ortie
* limaces : cendres de bois, poivre, piège à bière, fougères sèches brisées. Ce parasite fera partie d’un prochain exposé.

Références :
Wikipédia
ITAB Légumes plein champ BIO CULTURE DE CAROTTE
Clos d’armoise culture carotte
Plantes et jardin,com
Gamm Vert

Date : 2014
Photos / texte : Jean Yves

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27Mai

Le Jardin de Tyjolou à Pléchatel (35)

27 mai 2014 Ronan Quidu Jardins visités Ille-et-Vilaine

Le propriétaire, M. Louis Macé, nous accueille chaleureusement à l’entrée de son jardin situé dans un charmant village de campagne de la grande banlieue de Rennes.
Cette propriété rurale en pierre de schiste a été rénovée et le jardin aménagé de toute pièce en 1994 occupe une surface de 5.000 m² sur un sous-sol argileux. Seul le plan d’eau à l’extrémité du terrain existait à l’origine.
Macé n’est pas avare d’explications et de conseils, il travaille beaucoup dans cet espace dont les plantes ont grandi au fil des années. La plupart sont obtenues à partir de boutures récupérées ici et là. Les plantes (rosiers, vivaces) portent le nom de leur donateur. L’entrée est embellie par la présence de nombreux rosiers (Mme de Rothschild, Marie Curie, Iceberg) dont plusieurs grimpants. Sur la façade du garage s’élancent deux glycines dont l’une a été obtenue à partir d’un semis. Il a fallu attendre 7 ans avant la première floraison mais la patience est la règle du jardinier ! Face à la maison, plusieurs grosses poteries contenant des chênes, noisetiers, ifs, troènes, junipérus taillés en bonzaï et en nuage agrémentent les plates-bandes.
Un bassin de 5.000 litres d’eau entouré de pierres et nombreuses joubarbes précède la roseraie et le potager en carré (radis, salades, échalotes, fraisiers).
Pour éviter la pousse des mauvaises herbes, des cartons sont placés sur le sol recouvert d’une couche épaisse de compost. Dans la partie marécageuse, poussent gunnera, prêle, rhubarbe géante.
Clin d’œil au repos du jardinier : un lit végétalisé invite à la sieste. Les rosiers lianes et clématites diverses montent à l’assaut des arbres fruitiers (cognassier, prunier, pêcher, pommier, sureau) qui bordent le plan d’eau de 500 m² servant de refuge à de nombreux volatiles (cygnes noirs, canards, oies). Un paon se dandine entre poules et coqs. Rien n’est oublié, la vigne aussi est présente. La récolte de tous ces fruits est prometteuse pour de bonnes confitures maison.
Les nichoirs et abris d’insectes sont disséminés dans le parc. Aucun produit phytosanitaire n’est utilisé, le compost est utilisé abondamment.
Coup de cœur pour ce jardin très varié.
Merci pour le verre de l’amitié servi avant le pique-nique.

Date : 24 mai 2014
Photos / texte : Rolande Le Jardin de TyjolouM Louis Macé
8 rue de l’Ardouais – 35470 Pléchatel

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27Mai

Le Jardin de la Midoni à Bourg des Comptes (35)

27 mai 2014 Ronan Quidu Jardins visités Ille-et-Vilaine

“Un jardin en souvenir d’un frère”…
Le jardin de 2.000 m² se situe dans un joli village préservé avec des maisons en pierre et un environnement très « campagne ».
Dès l’entrée, près de la « maison des cochons » se succèdent plates-bandes de vivaces et un jardin minéral-végétal. Ce dernier est dessiné autour d’une gloriette support de clématites dont une jolie « Lady Diana » (à vérifier appellation contestée).
Ces clématites sont taillées à 30 cm de hauteur en novembre. Un petit banc dans ce coin zen et une belle photo est prise, Marie Claire et Jo très complices …
Plus loin, on rencontre Kériano, un alpaga très aimé de notre jardinière.
A l’arrière de la maison, on découvre des ambiances très différentes, naturelle, asiatique, méditerranéenne et une belle collection d’alliums.
Les deux ruches aux toits végétalisés ont retenu notre attention, pour les amateurs : se servir des alvéoles à graviers (pour allées ou parking), les remplir de sable et terre puis planter joubarbes et sédums.
Une autre découverte, un verbascum jaune très intéressant mais que l’on rencontre rarement dans les jardins.
Et nous partons vers un autre jardin et aussi et surtout une autre rencontre ….
Merci Madame Chevalier.

Date : 24 mai 2014
Photos / texte : Daniel PLe Jardin de ’La Midoni’Marie-Annick Chevalier
La Gohérais – 35890 Bourg des Comptes

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17Mai

Le Jardin de L’Isle à Saint-Erblon (35)

17 mai 2014 Ronan Quidu Jardins visités Ille-et-Vilaine

La demeure de L’Isle est une jolie longère nichée au cœur de la nature, proche du bourg de Saint-Erblon aux portes de Rennes. Brigitte Poignonnec et son mari ont acheté cette propriété en 2011 et y ont aménagé 3 chambres d’hôtes.
Malgré l’averse qui s’abat sur nous à notre arrivée, nous sommes immédiatement attirés par l’espace fleuri devant la maison, dominé par de grandes roses d’un bel orangé lumineux. Cette grande plate-bande, inspirée des mixed-border anglaises, a été conçue par Brigitte et plantée en 2011 sur l’emplacement d’une cour entretenue au ‘Roundup’, et donc forcément indemne de toute trace végétale ! La jardinière applique les principes du jardin au naturel, et 3 ans après et quelques brouettes de bonne terre plus tard, le résultat est impressionnant : un joyeux mélange d’arbustes et de grandes vivaces colorées, où viennent parfois s’immiscer un « intrus » comme un plant d’artichaut par exemple…
L’autre belle surprise de ce lieu est la découverte des grands arbres du parc qui entoure la maison : marronniers, pins, châtaigniers, cèdres, tilleuls… ont été dégagés et mis en valeur. On s’arrête spécialement devant un remarquable Merisier, probablement plus que centenaire, qui semble veiller de sa vénérable hauteur sur ce refuge à oiseaux, sans oublier un très bel amélanchier découvert enfoui sous la végétation. Les touches de couleur sont fournies par des azalées, malheureusement défleuries, et de grands arbustes qui occupent le pourtour du terrain : cornus, laurier du Portugal, rhododendrons…Au niveau du sol, notre regard est attiré par des orchidées sauvages en fleur, trouvant les conditions idéales de leur épanouissement dans ce sous-bois naturel.
La visite se poursuit à l’arrière de la maison, où les nouveaux jardiniers mettent en place un potager, toujours en s’inspirant des méthodes excluant tout traitement chimique. D’autres espaces agréables, en sous-bois ou en terrasses, ont été aménagés pour accueillir les hôtes, et bien sûr des projets sont encore dans la tête des propriétaires de ce grand jardin, 7.000 m², de quoi occuper encore quelque temps les jardiniers !
Et nous on se dit qu’on reviendrait bien dans 2 ou 3 ans pour voir l’évolution …

Date : mai 2014
Photos / texte : Sophie T 

        Le Jardin de l’IslePropriétaire : Brigitte Poignonnec
35230 Saint Erblon

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14Mai

Les pucerons par Thérèse

14 mai 2014 Ronan Quidu Maladies et ravageurs

Intervention faite par nos adhérents bénévoles

Mesurant de 1 à 4 mm, vert, noir, gris cendré ou rose, les pucerons sont les ravageurs les plus fréquents au potager, au jardin d’ornement ou au verger.
Ils appartiennent à la famille des Aphibiens en compagnie des cicadelles, psylles et cochenilles, dans l’ordre des Homoptères.
Ce sont des insectes phytophages (se nourrissant exclusivement de plantes).
Ils possèdent 2 antennes, 3 paires de pattes et un rostre avec lequel ils piquent et aspirent la sève des végétaux. Ils rejettent par l’anus un miellat très apprécié des fourmis.
Il existe environ 600 espèces de pucerons en France, certaines ailées, d’autres non (aptères).
Ils ont à leur disposition 2 modes de reproduction : asexué (parthénogénèse) au printemps et en été (ce qui explique leur prolifération), sexué en automne.

Les espèces rencontrées :

  • Les pucerons noirs : ce sont les plus fréquents. Présents d’abord sur les Viburnum Opulus (boules de neige) et les fusains, on les trouve ensuite sur les fèves, les haricots, les artichauts, les capucines, les dahlias…
  • Les pucerons verts dits du pêcher s’installent d’abord sur les arbres du genre Prunus puis sur les pommes de terre, les tomates, les poivrons, les laitues, les chicorées, les épinards, les choux, toutes les cucurbitacées…
  • Les pucerons cendrés parmi lesquels le puceron du pommier qui ira sur le plantain, le puceron du chou et le puceron lanigère du pommier qui migrera vers les racines en hiver.
  • Les pucerons verts ou rose fréquents sur les rosiers. Ils s’installent sur les boutons floraux et les jeunes tiges occasionnant des déformations foliaires.
  • Les pucerons des racines qui attaquent les laitues, les carottes, les chicorées, les haricots, les choux ou les artichauts. 

Les dégâts observés :
Par leur rostre, en prélevant la sève des plantes, les pucerons affaiblissent les plantes et entravent leur croissance. Ils injectent aussi des substances qui sont responsables de déformations foliaires ou de galles. Ils sont aussi le vecteur de virus notamment sur le pêcher.
En aspirant de grandes quantités de sève, les pucerons rejettent un miellat poisseux qui couvre le feuillage et les fruits. Se développe alors la fumagine, sorte de feutrage noirâtre qui réduit la photosynthèse et entraîne le dépérissement des plantes. 

La cohabitation fourmi-puceron.
On dit que les fourmis élèvent les pucerons. En fait, elles les protègent de leurs prédateurs comme les syrphes, les chrysopes, ou les larves de coccinelles et en échange, elles se nourrissent de leur miellat.

Les moyens de lutte :
En prévention :
Evitez les fumures trop riches en azote et veillez à limiter les carences qui fragilisent les plantes et facilitent leur attaque. Favorisez l’installation des auxiliaires (syrphes, chrysopes, larves de coccinelles…) avec des bandes florales (primevères, asphodèles…) des allées enherbées, des zones proches non cultivées comme des haies ou des talus.

Pour une lutte directe :
Commencez par un jet d’eau car un puceron à terre est un puceron mort.
Au verger, posez des colliers anti-fourmis ou attitrez-les au sol avec des préparations sucrées, traitez en fin d’hiver aux huiles blanches pour détruire les œufs.
En début d’attaque, utilisez des préparations à base d’éléments naturels. Faites une pulvérisation de savon noir (25g/l), de purin de fougères aigle ou de rhubarbe, d’infusion d’orties, de tanaisie, d’armoise ou de menthe poivrée, de broyat d’ail. (cf article Décoctions, infusions et purins)
Augmentez les auxiliaires en introduisant des larves de coccinelles ou de chrysopes.

En cas d’infestation, utilisez des insecticides bio à base de Pyrèthre sachant qu’ils ne sont pas sélectifs et détruisent les auxiliaires.
On trouvera peut-être bientôt dans le commerce de l’argile kaolinite calcifiée qui se pulvérise à l’automne et donne de bons résultats chez les professionnels en perturbant l’installation des pucerons.

Date : 3 mai 2014
Photos / texte : Thérèse

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05Mai

Des produits naturels pour traiter et nourrir les plantes, par Thérèse

5 mai 2014 Ronan Quidu Pratiques horticoles

Intervention faite par nos adhérents bénévoles

Décoctions, infusions et purins : recettes de base

Décoction :
Coupez les herbes en morceaux, couvrez d’eau et faites bouillir 1/4 d’heure.
Laissez refroidir toujours sous couvert.
A utiliser pour la rhubarbe et le clou de girofle.

Infusion :
Même recette que pour votre infusion du soir.
A utiliser dès le complet refroidissement.

Purin :
Il s’agit d’une macération plus ou moins longue, réalisée soit avec des orties, de la consoude, de la prêle ou des fougères. Cette macération a souvent un effet stimulant et elle s’utilise diluée.
Les proportions standard sont de 1kg/10l d’eau de pluie de préférence.
La préparation standard du purin : coupez les herbes en morceaux, couvrez d’eau, laissez macérer à couvert à cause des odeurs en remuant tous les jours.
Dès que le mélange cesse de bouillir, le purin est prêt.
Filtrez et conservez dans des bouteilles bouchées.
Jetez le résidu sur votre tas de compost, il ne fera que l’améliorer.

Préparation à base d’huiles essentielles :
20 gouttes sont mélangées à quelques gouttes de liquide vaisselle ou à une cuillérée de savon noir auxquelles on ajoute 1 litre d’eau ou un lait d’argile fait avec une cuillérée d’argile surfine et un litre d’eau.
Le lait d’argile permet une meilleure adhérence du produit.

Le matériel :

  • L’eau de pluie ou celle du puits. Si vous n’avez que de l’eau de ville, tirez-la la veille pour laisser le chlore s’échapper.
  • Des récipients en plastique avec des couvercles si vos voisins sont proches !
  • Une passoire très fine ou une serviette sur une passoire pour filtrer afin de ne pas boucher la pomme d’arrosoir ou la buse du pulvérisateur.

Des plantes pour nourrir :
La consoude : Quelques pieds cultivés au soleil ou à mi-ombre. 2 à 3 récoltes entre mai et octobre. A utiliser en purin d’une semaine de fermentation dilué à 20%. C’est une préparation stimulante qui favorise la floraison pour les plantes gourmandes : courgettes, tomates, aubergines, poireaux…Elle a l’avantage d’apporter des éléments minéraux puisés profondément dans le sol grâce à ses racines profondes. A apporter directement avec un arrosoir au pied des plantes.

L’ortie : Un coin de 1m² dans un coin du jardin est suffisant. Taillez-la régulièrement pour qu’elle ne graine pas et surveillez les rhizomes pour qu’ils ne s’étendent pas. Attention, celles du bord des routes risquent d’être polluées.  Pour faire le purin, utilisez les parties les plus tendres et mettez le reste au compost. Le purin est prêt en une semaine environ. Il s’utilise en arrosage dilué à 20%. Un demi-litre par plante apporte les nitrates et oligo-éléments nécessaires à toutes les plantes et contribue au démarrage des jeunes plants. N’arrosez jamais sur une terre sèche mais arrosez un peu avant surtout sur les potées. Les géraniums adorent !

La luzerne : Les pellets ou bouchons s’achètent en jardinerie. C’est un excellent apport d’azote. On peut soit mettre quelques pellets à la base des plantes si le temps est pluvieux, soit les faire se dissoudre dans un arrosoir (3 poignées pour 10l) et verser un demi-litre par plant.

Le pissenlit : A prendre avec la racine dans la pelouse quand on en a besoin. Il en faut 1,5kg pour 10l d’eau pour réaliser un purin à utiliser dès qu’il commence à sentir en le diluant à 50%.
On peut aussi réaliser une infusion (1kg de pissenlit haché pour 5l d’eau) qu’on pulvérisera pur.
Les préparations à base de pissenlit sont indiquées pour redonner de la vigueur aux plantes chétives et nourrir les gourmandes.

Les algues de votre bassin : A récupérer à l’épuisette. Elles sont chargées de nitrates et seront bénéfiques à la rhubarbe, aux poivrons et aubergines, de même qu’aux rosiers. Il suffit de les étaler au pied des plantes. Par contre, il est déconseillé d’en donner aux salades et épinards qui absorbent les nitrates trop facilement.

Des plantes pour éloigner les insectes :
L’absinthe :  Elle peut être installée dans un massif fleuri au soleil. A récolter dès qu’elle commence à fleurir et faire sécher les tiges. Elle s’utilise en infusion (30g/1l de feuilles sèches à pulvériser) contre les altises, les vers gris, les louvettes, les vers fil de fer, les vers du pommier, la piéride, les chenilles…On peut aussi planter des pieds d’absinthe dans le jardin non loin des plantes sensibles.

L’ail : Une préparation spéciale : 100g d’ail écrasé dans un verre d’huile d’olive ou de colza qui macèrent 12h. Ensuite, on presse le tout, on ajoute 1l d’eau et 3 cuillérées de savon noir et on laisse reposer une semaine ou plus dans le noir. On l’utilise diluée (3 cuillérées à soupe pour 1l d’eau) contre les aleurodes, les pucerons, les piérides, les acariens, les doryphores, les chenilles, la teigne de la pomme de terre…On peut aussi utiliser des huiles essentielles.

La fougère : C’est un puissant répulsif à utiliser en purin d’une semaine (1kg/10l d’eau) pour lutter contre les vers fil de fer (larves du taupin), les vers gris, les louvettes, la cochenille, les pucerons dont les pucerons lanigères des pommiers (dans ce cas, il faut le passer au pinceau additionné d’une cuillérée de savon noir pour bien faire pénétrer le produit).

La menthe poivrée : Un autre puissant répulsif, très efficace sur la piéride du chou, les pucerons noirs, les chenilles… On l’utilise en purin (1kg/10l dilué à 10%) mais pas sur les semis. On peut aussi utiliser des huiles essentielles.

L’ortie : Pour être efficace, il faut l’utiliser en infusion (3 poignées de feuilles /1l d’eau dilué à 20%) à pulvériser sur les légumes et arbres fruitiers contre les pucerons et les acariens. 

Le piment : Contre les pucerons noirs sur les rosiers, les arbres fruitiers, les fèves, la mouche de l’oignon et de la carotte, les larves de doryphores, les cochenilles, utilisez en pulvérisation du soir une macération de 2 cuillérées à café de piment de Cayenne avec 2 gousses d’ail écrasées pour 1l d’eau. Après filtration, ajoutez 2 cuillérées à soupe de savon noir. On peut aussi utiliser des huiles essentielles.

La rhubarbe : Seules les feuilles sont utilisées, soit en décoction (500g/ 1/4l d’eau pendant 30 minutes plus une goutte de savon noir) contre les pucerons, soit en macération (3 feuilles /3l d’eau pendant 3 jours non diluée) contre les pucerons ou pour éloigner les limaces après un repiquage.

La tanaisie :  Installez un stolon que vous aurez trouvé dans la nature. Un purin pur, réalisé avec 1 seau de feuilles et tiges pour 10l d’eau au bout d’une semaine, est efficace contre l’altise, les chenilles, les pucerons et les fourmis, dilué à 20% contre la mouche de la carotte ou de l’oignon. On peut aussi réaliser une infusion de 20 minutes avec 100g de fleurs pour 1l d’eau à utiliser pure.

La tomate : Une macération pure de 24h (un seau de feuilles et de tiges rempli d’eau) pour lutter contre les pucerons et les acariens sur les choux, les poireaux, les rosiers, les fruitiers…

Des plantes pour traiter les plantes malades :
L’absinthe : En macération de 24h de 100g/1l d’eau non diluée, elle a un effet contre la rouille des rosiers ou des arbres à petits fruits. On peut ajouter une pincée de soufre mouillable qui renforce l’action. 

L’ail : Contre la cloque du pêcher ou l’oïdium de la vigne, utilisez une infusion préparée avec une tête d’ail pour 1l utilisée pure en pulvérisation.

La capucine : Une infusion utilisée pure (une casserole de feuilles remplie d’eau mise juste à frémir) est efficace contre l’oïdium des pommiers.

Le clou de girofle : Une décoction de 10 clous dans 1l d’eau pendant 30 minutes est efficace contre une fonte des semis en cours.

La prêle : Pour lutter de façon préventive contre le mildiou, la moniliose, la rouille, la tavelure, la cloque et un peu moins contre l’oïdium, sur les rosiers, les tomates, les arbres fruitiers, utilisez une infusion de 100g de tiges sèches pour 1l d’eau dilué à 20%. Contre la moniliose, il vaut mieux ajouter une pincée de Cuivrol qui renforce l’action et traitez à la chute des pétales.

La sarriette : Une préparation à base d’huiles essentielles est très efficace contre le mildiou des pommes de terre, de la tomate ou de la vigne, la cloque du pêcher et le chancre des arbres fruitiers.

Le raifort :  Pour lutter contre la moniliose des pruniers, pommiers, cerisiers… utilisez cette préparation : 2 ou 3 tiges et racines broyées au mixer sur lesquelles on verse 1l d’eau bouillante en continuant de mixer 2 à 3 minutes. On laisse infuser et après dilution à 20% on pulvérise à la chute des fleurs et un mois plus tard.

La tanaisie : Plus qu’une infusion, l’utilisation d’huiles essentielles a une action préventive efficace contre la rouille des rosiers ou des roses trémières et le mildiou des pommes de terre, tomates et vigne. On peut aussi traiter avec une infusion de fleurs diluée à 20% (cf. paragraphe précédent).

Date : 3 mai 2014
Photos / texte : Thérèse

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