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Balades & jardins

2017

Home / 2017
09Déc

Travaux au jardin d’agrément en décembre et janvier

9 décembre 2017 Annaïg Le Meliner Travaux mois par mois

Les plantes se sont préparées au repos d’hiver.

Pelouses et bordures

Après la dernière tonte vous pouvez combler les affaissements du sol avec une bonne terre végétale légère.

Ces parties seront ressemées au printemps.

Arbres, arbustes et conifères

La plantation des persistants doit être terminée depuis le mois de novembre.

Plantation, déplacement des arbres et arbustes caducs.

Rabattre la ramure pour une meilleure reprise.

Élaguer les arbres si nécessaire. Il est préférable de le faire régulièrement pour l’arbre et pour son esthétique.

En cas de fortes gelées, installer des protections pour les plantes fragiles, celles récemment mises en terre, et les plantes en pots, retirer les soucoupes. En cas de gelées passagères ne pas les laisser en permanence, des champignons peuvent se développer.

Au pied des arbustes aérer le sol, épandre compost, engrais organique.

Traitement d’hiver : pulvériser de l’huile de colza contre les insectes qui pondent sur le bois aérien.

Plantes vivaces

Nettoyer les massifs.

Nettoyer les hellébores, supprimer les vieilles feuilles qui peuvent contenir des maladies.

Ne pas toucher aux graminées, le nettoyage sera fait au printemps à la sortie de la nouvelle végétation.

Épandre un lit de feuilles dans les massifs au pied des arbustes, 10cm minimum pour protéger du gel.

Plantes grimpantes

Planter les grimpantes à feuilles caducs : chèvrefeuille, vigne-vierge, clématite…

Rosiers

Plantations des rosiers à racines nues.

Conseils

Surveiller le compost, pas trop humide, bien aéré, pas trop de feuilles mortes.

Désherbage et traitement chimiques : Attention, interdiction des produits de synthèse à partir du 1er janvier 2019, préparons-nous.

 

Date décembre 2018

Texte François L

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02Déc

Cultiver sur des buttes, par Thérèse

2 décembre 2017 Annaïg Le Meliner Pratiques horticoles

Intervention faite par nos adhérents bénévoles

En relation avec la permaculture, il s’agit d’une pratique en plein développement.
A titre d’exemple, on peut citer le jardin d’Emilie Hazelip ou la ferme du petit colibri de Richard Walluer ,sans oublier la ferme du Bec Hellouin de Charles et Perrine Hervé-Gruyer.

Les principes : Ils sont ceux de la permaculture :

  • butte permanente afin d’éviter toute dépense d’énergie inutile
  • respect de la vie du sol qui n’est pas travaillé mais toujours couvert
  • recyclage des déchets verts
  • volonté de laisser faire la nature
  • meilleure utilisation de l’espace
  • apport esthétique par la variation des formes et des volumes.

En résumé, la butte reste en place, toujours recouverte de paillis, de feuilles, d’herbe ou de végétaux comme dans la nature. La butte est dite auto fertile.

Les avantages
On recrée du sol. Si la terre du potager est gorgée d’eau ou pleine de cailloux, la culture sur butte est idéale car elle élimine ces problèmes.
La terre est moins basse. En général, on réalise des buttes de 50cm de hauteur, ce qui facilite les récoltes. On verra à la réalisation que cela situe le sommet de la butte à environ 1,30m.
La terre se réchauffe plus rapidement car les bords captent mieux les rayons du soleil. Cela permettra aussi des cultures plus précoces ou plus tardives.
La terre est mieux drainée. Les pluies pénètrent mieux et il n’y a pas d’eau stagnante.
Les racines des plantes se développent mieux : elles ont plus d’espace et le sol est plus aéré.
Il y a plus de place pour cultiver que sur une surface plane.
On peut cultiver plus serré car la couche de sol est plus importante. Donc il y a moins de concurrence entre les plantes.
Le sol est respecté car on ne marche pas dessus et on ne le travaille pas.
La butte est auto fertile : c’est la décomposition du paillage qui nourrit la terre.

Les inconvénients
Le plus important est la mise en place de la butte qui nécessite du temps et beaucoup d’énergie.
La sécheresse est plus rapide en été.
L’exposition au vent est plus importante.
Le tassement naturel de la terre nécessite des apports très réguliers de paillage.
Un affaissement des bords intervient au fil du temps et demandera peut-être de reconstruire la butte au bout de quelques années. De même si le tassement est trop important.

En regard de ces avantages et inconvénients, comment savoir si c’est utile de réaliser une butte ?

  • Ce n’est pas utile si :
    • le sol n’est pas trop aride,
    • le sol n’est pas trop humide,
    • l’herbe pousse bien,
    • le sol est profond.

C’est utile si : le sol est de mauvaise qualité : très pauvre, très humide, caillouteux.
Par contre si la terre est trop drainante ou le terrain très venté, on cultivera en creux.

La réalisation d’une butte

Choisir l’orientation
-nord-sud : les pentes capteront davantage les rayons du soleil.
-est-ouest : une pente sera à mi-ombre ce qui est favorable aux salades, l’autre pente bénéficiera du soleil en permanence.

Choisir le lieu
La butte va rester en place plusieurs années ou même définitivement. Elle doit s’intégrer au jardin.

Définir ses dimensions
Largeur entre 1 m et 1,20 m en général, ce qui permet de travailler facilement sur la partie haute.
Hauteur : cela dépend des matériaux dont on dispose, des capacités physiques du jardinier ou de la jardinière.
Plus c’est haut, plus l’exposition aux rayons du soleil est importante. Mais si les pentes sont trop fortes, l’érosion de la butte sera plus rapide. 20, 30 ou 50 cm sont de bonnes hauteurs.
Si on veut faire une butte plus haute, il faudra la faire un peu plus large. Pour travailler on installera des repose-pieds, ce qui évite de tasser la terre.

L’écartement si on en réalise plusieurs

  • étroit (30 cm).
  • 50 cm pour pouvoir travailler à genoux
  • 70 cm pour passer avec une brouette.

Définir sa forme
La butte doit être arrondie avec des pentes faibles pour présenter une grande surface de culture.
Mais il faut tenir compte de la nature du sol.
Avec un sol lourd et argileux, il vaut mieux des pentes de 45° voir plus. Cela évite que la terre ne se compacte.
Avec un sol sableux, les pentes doivent être plus faibles.
On peut aussi soutenir les rebords avec des planches pour éviter l’affaissement. Ces planches serviront aussi si on veut travailler assis sur une planche transversale ou bien à poser pied ou genou.
On peut créer des buttes de formes différentes : bandes, ados contre un mur, courbes, serpentins, trous de serrure…

Choisir la période de réalisation
En automne, en hiver ou au début du printemps.
Il est indispensable que la terre soit humide donc plus meuble mais pas gorgée d’eau car le travail serait trop difficile.
Une réalisation au début du printemps permet de profiter de l’effet coup de fouet dû à l’aération de la terre. Si on réalise la butte en automne, il faudra la couvrir de suite d’un paillis très épais si on ne cultive pas tout de suite. L’effet coup de fouet sera moins important car les plantes consomment moins d’azote (moins d’énergie solaire, donc croissance plus lente). L’azote se transforme en nitrates lessivés par les pluies.

Les différentes façons de procéder

En utilisant la terre de l’allée.
Pour plus de facilité, il faut travailler un sol mouillé. On ameublit la terre, soit à la grelinette, soit au motoculteur. Ensuite on creuse avec une bêche et on monte la butte.
S’il y a de l’herbe, on peut la laisser à condition qu’elle soit intégrée à la butte où elle se décomposera. On peut aussi ajouter du compost, du fumier décomposé, toutes sortes de déchets verts, des feuilles mortes, des tontes…ce qui améliore la fertilité du sol.

En intégrant des troncs, des branchages, du BRF.
On forme le lit de la butte avec ces déchets végétaux, on les tasse pour éviter les poches d’air qui seraient néfastes aux racines et on construit la butte par-dessus.
Plusieurs avantages à cette 2ème technique :
En se décomposant, ces végétaux vont favoriser la libération de nutriments grâce à l’activité des champignons et de la faune du sol.
Cette décomposition produit également de la chaleur ce qui peut permettre des cultures plus précoces.
Le bois absorbe l’humidité du sol et la restitue lentement, ce qui est intéressant avec une terre drainante.
La présence importante de matières organiques favorise l’oxygénation.
Un inconvénient : Comme le bois se décompose, la butte se tasse et il faut la refaire plus souvent.

En pratiquant un double bêchage.
On prélève une motte de terre que l’on emporte au bout de la future butte. On décompacte la terre à la grelinette et on pose sur ce carré une motte prise à côté, toujours sans la retourner.
Quand on a fini ce travail sur toute la surface, il ne reste plus qu’à recouvrir avec la terre des allées additionnée de compost ou de fumier.
Remarque : Le fait de remuer la terre sur une grande profondeur est en contradiction avec le respect du sol. Dans la pratique, il semble que la culture sur butte donne de bons résultats car les apports compensent les aspects négatifs. Au fil du temps, les couches vont se reconstituer.

La culture sur les buttes
La butte doit être constamment recouverte d’un épais paillis. Cela évite le dessèchement et le lessivage des éléments nutritifs. En se décomposant, le paillis favorise la vie du sol et la libération de nouveaux éléments nutritifs. Ainsi la butte devient auto fertile.
Sous le paillis, on enfouira les éléments des légumes non consommables, les déchets de la cuisine…Il faut que la couche soit sans cesse renouvelée. On laissera les racines des plantes, même des adventices afin de ne pas bouleverser le sol.
Deux exceptions à cette couverture :

  • -On peut la retirer au début du printemps pour permettre un réchauffement plus rapide du sol.
  • -Au moment des semis, il est nécessaire de l’écarter pour permettre la germination, surtout pour les graines fines.

Pour les graines plus grosses, on peut se contenter de diminuer l’épaisseur du paillis (5 à 10cm) jusqu’à ce que les plantules soient suffisamment développées.
Une autre technique sera de ne faire que du repiquage de plants préparés en pépinière.
L’arrosage ne doit pas être oublié même si la butte en demande moins.
On installera en haut les plantes qui ont le moins besoin d’eau et en bas les autres.
L’aération du sol pourra être nécessaire au fil des cultures. Il sera fait à la grelinette ou avec le croc sans marcher sur la butte.

Des alternatives à la butte

Jardiner sans butte
Pour éviter la fatigue, les problèmes d’arrosage, la difficulté de garder sa forme à la butte. Dans ce cas, on garde les dimensions pour travailler plus confortablement, pour éviter les piétinements. Pour créer cette bande, on utilise des procédés proches : arrosage puis étalage de BRF si on en dispose, puis étalage de cartons, puis de fumier décomposé et de compost et pour finir une épaisse couche de paillis. La première année, on plantera des pommes de terre en faisant une incision dans le carton. Les racines se chargeront d’ameublir le sol.

Les lasagnes
Elles permettent d’avoir un mini potager très productif et avec des plantations denses. Il s’agit de réaliser un mille feuilles avec des couches sèches (paille, fumier, feuilles mortes, litières broyat des graminées, résidu de la mare) qui apporteront le carbone et des couches vertes (tontes, feuilles vertes broyées, herbes de désherbage, déchets de cuisine) qui apporteront l’azote.
On commence par poser sur le sol non travaillé mais humide des branchages ou des cartons. Puis on étale en alternance des couches sèches et des couches vertes avec des matériaux de plus en plus fins. On terminera avec une couche fine de compost ou de déchets verts broyés à la tondeuse ou de BRF fin.
Chaque couche doit être arrosée abondamment pour permettre la décomposition des matériaux.
L’arrosage est important surtout au début.
Il faut que la lasagne atteigne au moins une hauteur de 30cm car elle va se tasser rapidement en raison de la décomposition des matériaux.
La lasagne s’installe au début du printemps : mars ou avril. On peut stocker les matériaux pendant l’hiver à proximité du lieu choisi.
La création d’une lasagne est idéale pour cultiver des plantes gourmandes en matières organiques telles que les tomates et aubergines, les cucurbitacées, les choux, les bettes et les salades.
Le désherbage est quasiment inexistant.
Par contre, il faudra se méfier des limaces qui trouveront un milieu très favorable.
A la fin de la saison, les restants de la lasagne peuvent être utilisés en compost ou servir à en monter la suivante.

Conclusion
Chacun adaptera ces techniques à la surface de son potager, selon son inspiration et selon ses possibilités quant au choix des constituants ou de ses capacités physiques !

Sources: Les 4 saisons du jardin bio.
Le guide de la permaculture de Carine MAYO

Date : 2 décembre 2017
Photos / texte : Thérèse

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19Nov

Conférence : Hydrangea et autres hydrangéacées des sous-bois asiatiques par Fabrice Gautier

19 novembre 2017 Annaïg Le Meliner Conférence, Conseils Jardin d'ornement

Conférence qui n’a pas donné lieu à un compte-rendu, seulement une présentation générale

Fabrice Gautier est jardinier pépiniériste, passionné d’hydrangea pour lesquels sa pépinière « Sous un arbre perché » sise à Guerlesquin (Finistère) a été labellisée deux fois Collection Nationale par le CCVS (Conservatoire des Collections Végétales Spécialisées) : « Hydrangea serrata » et « Hydrangéacées asiatiques ».

Il a rédigé un article en 2016 sur les H. serrata dans « Hommes et Plantes » (revue du CCVS).

Cette conférence n’a abordé que le côté Hydrangea des forêts d’Asie (donc ni macrophylla, ni paniculata, ni quercifolia, ni arborescens).

Elle a porté sur la présentation et la répartition géographique des différentes familles d’Hydrangea que l’on peut trouver dans les milieux ombragés d’Asie, à savoir :

  • les H. aspera,
  • les H. serrata,
  • les H. involucrata,
  • les H. petalanthes,
  • les hydrangéacées herbacées…

Ainsi nous avons découvert la richesse insoupçonnée de ce que nous nommons parfois de façon simplifiée les hortensias.
Voici un petit rappel en photos de cette belle conférence.
Merci Fabrice !
Date : 18 novembre 2017
Photos / texte : Fabrice Gautier, pépiniériste ‘Sous un arbre perché’, Kervocu, 29650 Guerlesquin

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15Nov

Travaux au jardin d’agrément en novembre et décembre

15 novembre 2017 Annaïg Le Meliner Travaux mois par mois

Mi-novembre mi-décembre : période idéale pour planter déplacer à votre guise…

Pelouse et bordures

Aérer les pelouses anciennes principalement aux endroits de passage. Taille des bordures.

Tondre et mulcher avec les feuilles, laisser sur place sinon mettre au compost.

Arbres, arbustes et conifères

Récupérer les drageons de lilas, spirée, corète, symphorine…

Bouturer groseilliers à fleurs paulownia, …

Planter les sujets à racines nues à partir de mi-novembre.

Planter les conifères et les arbustes à feuillage persistant, fusain, camélia, rhododendron, azalée, bruyère.

Taille des haies

Plantes vivaces

Nettoyer les massifs, rabattre les asters

Continuer à diviser les touffes d’épimédium, phlox, ophiopogon, pivoine herbacée, bergénia, hosta, véronique

Planter les pivoines, pivoines herbacées, pervenches, épimédium, sedum, graminées, hélianthèmes…

Repiquer les semis, fenouil, alchémille, ancolie, campanule, euphorbe, hellébore…

Pailler les plus sensibles au froid, certaines hellébores, fuchsias, cistes sauges,…

Fleurs saisonnières

Semer pois de senteur, coquelicot, bleuet, muflier, pied d’alouette, nigelle, pavot.

Planter les semis naturels, pensée, myosotis, nigelle, giroflée, digitale, primevère…

Plantes grimpantes

Taille de propreté,

Bouturer ou marcotter actinidia, glycine, vigne-vierge.

Planter jasmin, lierre, chèvrefeuille, vigne-vierge…

Rosiers

Rabattre de moitié les rosiers buissons, desépaissir les grimpants.

Ajout d’engrais organique, de compost, sang séché, corne torréfiée.

Plantations des rosiers à racines nues.

Plantes bulbeuses

Planter les bulbes de printemps, tulipe, narcisse, crocus, jacinthe, scille, ail, muscari, lis, iris…

Déterrer les bulbes d’été, dahlia, glaïeul, canna, bégonia.

 

Conseils : pailler les massifs, le pieds des arbres et arbustes ; vous pouvez utiliser, fougère sèche, feuille morte, résidu de nettoyage des touffes de vivaces, de tailles de haies. Attention n’utiliser que des résidus sains.

Penser à marquer les emplacements des vivaces qui perdent leurs feuillages, pivoines, anémones du Japon…

Epandre les cendres de bois autour des plantes exceptés les plantes de terre de bruyère. La cendre augmente le pH du sol.

Préparer les protections des plantes sensibles au froid.

Plantation des arbres à racines nues, suivre les conseils de Claude Cadio : « La plantation des arbres en racines nues ».

 

PHOTO d’un Myosotis provenant d’un semis naturel

 

Date 18 novembre 2017

Photos et texte François L

 

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18Oct

Travaux au jardin d’agrément en octobre et novembre

18 octobre 2017 Annaïg Le Meliner Travaux mois par mois

L’automne est bien installé, vous pouvez planter déplacer à votre guise …..

mi-novembre mi-décembre est une période idéale.

 

Pelouse et bordures

Semer les nouvelles pelouses,

Aérer les pelouses anciennes principalement aux endroits de passage. Taille des bordures.

Tondre en mulchant, arroser rouler.

Arbres, arbustes et conifères

Récupérer les drageons de lilas, spirée, corète, symphorine…

Préparer les trous de plantations (mélange compost/terreau/bonne terre), laisser la vie biologique s’installer.

Planter les sujets à racines nues à partir de mi-novembre.

Planter les conifères et les arbustes à feuillage persistant, fusain, camélia, rhododendron.

Plantes vivaces

Récolter les graines des plantes défleuries. Bouturer le seringat sur bois sec.

Nettoyer les massifs, rabattre les touffes, conserver les plus élégantes pour le jardin d’hiver.

Continuer à diviser les touffes d’épimédium, phlox, ophiopogon, pivoine herbacée, bergénia.

Planter les pivoines, pivoines herbacées, pervenches, épimédium, sedum, graminées, hélianthèmes…

Repiquer les semis, fenouil, alchémille, ancolie, campanule, euphorbe, hellébore…

Fleurs saisonnières

Semer pois de senteur, coquelicot, bleuet, muflier, pied d’alouette, nigelle, pavot.

Planter les semis naturels, pensée, myosotis, nigelle, giroflée, digitale, primevère…

Plantes grimpantes

Taille de propreté,

Marcotter les clématites.

Bouturer actinidia, glycine, vigne-vierge.

Planter jasmin, lierre, chèvrefeuille…

Rosiers

Rouille: supprimer les feuilles en fin de saison.

Ajout d’engrais organique, de compost.

Premières plantations de rosiers à racines nues.

Plantes bulbeuses

Planter les bulbes de printemps, tulipe, narcisse, crocus, jacinthe, scille, ail, muscari, lis, iris…

Déterrer les bulbes d’été, dahlia, glaïeul, canna, bégonia.

Conseils :

Pailler les massifs, le pieds des arbres et arbustes ; vous pouvez utiliser, fougère sèche, feuille morte, résidu de nettoyage des touffes de vivaces, de tailles de haies. Attention n’utiliser que des résidus sains.

Pensez à aérer le compost au moins une fois par mois.

Étaler la tonte de pelouse aux pieds des arbustes à fleurs, dans les massifs floraux.

Épandre du compost dans les massifs.

Laisser les feuilles mortes saines recouvrir les massifs, sinon les mettre au compost.

 

Date 21 octobre 2017

Texte François L

 

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17Oct

Le Parc Botanique de Haute Bretagne à Le Chatellier (35)

17 octobre 2017 Annaïg Le Meliner Jardins visités Ille-et-Vilaine

Nous visitons ce parc floral et botanique de 25 ha répartis en 24 jardins thématiques pour en prendre plein les yeux !

Date : octobre 2017
Photos / texte : Joëlle B + Christian B + Bidou

Ouvert du lundi au vendredi : 8 h – 17 hLe Parc Botanique de Haute BretagneChâteau de la Foltière – 35133 Le Chatellier

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14Oct

Les Jardins des Renaudies à Colombiers du Plessis (53)

14 octobre 2017 Annaïg Le Meliner Jardins visités Mayenne

Ce parc floral d’inspiration anglaise créé par M Renault, pépiniériste passionné, créateur également des pépinières du même nom, fait une place importante aux végétaux de collection, dont celle des d’érables japonais et des hydrangeas particulièrement beaux en cette saison.

 

Sans oublier les nombreux rosiers et les quelques 500 vivaces qui composent les mixed-bordures…

C’est en compagnie de son jardinier, Stéphane Angot que nous découvrons le jardin.

 

Date : 1er octobre 2017
Photos / texte : Christian B, Joëlle B, BidouLes Jardins des RenaudiesLes Mézerais – 53120 Colombiers-du-Plessis

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08Oct

La Pépinière ‘Des heures dehors’ à Ploërmel 56

8 octobre 2017 Annaïg Le Meliner Pépinières visitées

Balade : gourmandises florales

Quand la cueillette s’effectue après la rosée du matin dans le jardin « desheuresdehors », la balade gourmandise peut commencer. Nous y arrivons le vendredi 6 octobre sous un soleil automnal accompagné d’une petite brise, bien fraîche. Mais très vite, nous sommes captivées par l’histoire d’Hélène et Daniel venus de Bristol (Angleterre). Installés depuis 3 ans à la Vieille Ville, près de Ploërmel, pour une reconversion professionnelle plus que réussie. Leur jardin comestible regorge d’une multitude d’espèces de fleurs et plantes, plus ou moins connues, mais souvent ignorées du grand public. Ça va faire le bonheur de nos papilles.

Les premières odeurs du « Thym » (thymus jekka) qui sert de couvre-sol nous embaument déjà, puis la cueillette dégustation commence.

Il y a la Tétragone connue sous le nom d’épinard de Nouvelle-Zélande.

Du Lierre Terrestre au goût de fromage de chèvre qui sent carrément le bouc !

La Moutarde Rouge (amsoïm) pique comme le radis noir

Puis l’Oseille plus acide.

L’arbre aux faisans (leycesteria) nous étonne avec ses baies rouge-foncée au goût de caramel brûlé. Cet arbuste est même considéré comme invasif en Australie.

Ensuite viennent les Capucines avec graines, feuilles et fleurs qu’un grand chef cuisinier de la région met en harmonie avec ses recettes de crustacées.

Les Tagêtes se cueillent à peines ouvertes, voilà la rosée du matin qui intervient pour harmoniser son alchimie pendant le transport chez le client afin de faire aboutir la quintessence du plat à laquelle elle est destinée.

La Pimprenelle ressemble à une sorte de concombre et de noix verte dans la bouche.

Les Radis poussent en fleurs afin de pouvoir manger la petite gousse. Un vrai bonheur.

Le Skiso Perrilat (basilique japonais) procure un goût oriental de cumin.

Le Yaouthli (herbes aux thés) nous rappelle la réglisse.

Pour le dessert, la surprise de L’herbe à sucre des Aztèques (lippa dulcis), donne une explosion rafraîchissante sucré-mentholé, collant sur notre palais.

Bref un vrai tour gastronomique dans ce havre de paix. Un jardin plein de tendresse et de saveurs subtiles !

Date : 06/10/17

Texte : Lotti F

 

La Pépinière ‘Des heures dehors’
Hélène et Daniel Deniaud-Powell16 Vieille Ville – 56800 PLOERMEL

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04Oct

Le Jardin de La Pellerine (53) en 2017

4 octobre 2017 Annaïg Le Meliner Jardins visités Mayenne

Après la restauration de la bâtisse en pierres, Sylvie et Alain Douinot ont commencé l’aménagement du jardin, qui est devenu au fil des années un parc magnifique de 2,5 ha labellisé ‘jardin remarquable’ en 2004.

Recherche d’harmonie, équilibre des volumes, raffinement des textures et des couleurs Sylvie, aidée d’Alain, y consacre tout son temps…Elle nous fera découvrir de nombreuses plantes tout au long du parcours tout en surprises.

Date : 1er octobre 2017
Photos / texte : Joëlle B, Christian B, BidouLe Jardin de La PellerinePropriétaires : Sylvie et Alain Douinot
La Larderie – 53220 La Pellerine

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04Oct

Le Jardin de M et Mme Rousseau à Ernée (53) en 2017

4 octobre 2017 Annaïg Le Meliner Jardins visités Mayenne

M et Mme Rousseau sont des fous de jardin !

Un jardin contemporain fait à 4 mains, tout en courbes et en harmonie, regroupant une quantité impressionnante de camellias notamment, tous patiemment élevés par les propriétaires : à découvrir et à partager…

Jardin fleuri toute l’année, arbustes à feuillages colorés !

Date : 1er octobre 2017
Photos / texte : Christian B, Joelle B, BidouLe Jardin de M et Mme Rousseau53500 Ernée

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